Discover the 7 watches in the MDCCCLX collection

Ah, la Moonswatch "Earth Phase" ! On dirait qu'Omega et Swatch se sont dit : "Tiens, et si on prenait l'icône de la conquête spatiale et qu'on la déguisait en... quelque chose qui a vu le jour dans une usine de Tupperware ?" Franchement, cette montre a autant de rapport avec la planète Terre qu'un astronaute en plein cauchemar avec une salade de fruits. "Earth Phase" ? Mais où est la phase "embouteillage du lundi matin" ou "facture d'électricité qui pique un peu" ? Non, à la place, on a un cadran gris lunaire (ironiquement) avec une petite Terre dessinée qui a l'air d'avoir été coloriée par un enfant de cinq ans un jour de pluie. Et ce boîtier en "Bioceramic" ! On dirait le résultat d'une union contre-nature entre un Lego et un yaourt périmé. C'est léger, certes, mais ça respire la solidité d'un château de cartes sous une brise légère. J'ai l'impression que si je la cogne un peu trop fort contre une table, elle va se désintégrer en une poussière de licorne arc-en-ciel. Le bracelet en Velcro, parlons-en ! C'est tellement "tendance décontractée" que j'ai l'impression qu'il va se détacher à la première poignée de main un peu énergique. Et cette boucle en plastique... on dirait qu'elle a été récupérée sur un cartable d'écolier. Mais attendez, il y a un chronographe ! Oui, parce que quand on observe la Terre depuis l'espace (enfin, depuis son canapé), il est absolument crucial de pouvoir mesurer des intervalles de temps courts. Genre, le temps qu'il faut pour que le chat finisse sa pâtée. Alors, oui, c'est une Omega Speedmaster... enfin, une sorte de Speedmaster qui a fait un régime draconien et qui a troqué son acier noble contre du plastique biodégradable (enfin, je l'espère pour la planète). C'est un peu comme si on prenait une Rolls-Royce et qu'on la carrossait en carton. L'intention est là, mais le résultat... disons qu'il faut avoir un certain sens de l'humour (ou être un collectionneur très, très indulgent) pour l'apprécier pleinement. En résumé, la Moonswatch "Earth Phase" : pour ceux qui rêvent d'aller sur la Lune, mais qui ont surtout l'impression d'avoir atterri sur une autre planète en termes de design et de matériaux. Mais hé, au moins, elle donne l'heure ! (Enfin, j'espère. Je n'ai pas encore osé vérifier de trop près, de peur qu'elle ne se désagrège.)

Points Forts : L'élégance intemporelle du Reverso : C'est son ADN, son charme indéniable. Ce boîtier rectangulaire qui pivote, c'est une icône. On ne s'en lasse pas. Sur un poignet, ça a une présence folle, à la fois discrète et sophistiquée. C'est le genre de montre qui murmure la classe plutôt que de la hurler. Le cadran, une belle sobriété : Sur cette référence, on a un cadran clair, bien lisible avec ces chiffres arabes élégants. Il y a une certaine pureté dans le design, pas de fioritures inutiles. On sent le souci du détail, la qualité de la finition. Le mouvement, une mécanique de haute volée : Jaeger-LeCoultre, c'est une manufacture avec une sacrée réputation. On sait qu'à l'intérieur, il y a un mouvement mécanique bien conçu, fiable. C'est un cœur qui bat avec précision, un gage de qualité et de durabilité. Le côté pratique du second fuseau horaire : Si c'est un modèle Duo, avec un second cadran au dos, c'est un atout non négligeable pour les voyageurs ou ceux qui ont des contacts à l'étranger. On a deux montres en une, en quelque sorte. Un certain prestige, une histoire : Porter une Jaeger-LeCoultre, ce n'est pas anodin. C'est s'inscrire dans une histoire horlogère riche, une tradition de savoir-faire. C'est une montre qui a une âme. Points Faibles : Le prix, forcément : Soyons réalistes, la qualité et le prestige, ça se paie. Une Jaeger-LeCoultre, ce n'est pas une montre pour toutes les bourses. C'est un investissement conséquent. Le bracelet parfois un peu rigide : Sur certains modèles, le bracelet en cuir peut mettre un peu de temps à se faire au poignet. Au début, il peut sembler un peu raide. La sensibilité aux rayures du boîtier : L'acier poli, c'est magnifique, mais ça a tendance à marquer avec le temps, les petits chocs du quotidien. Il faut en prendre soin. Le style qui peut ne pas plaire à tout le monde : Le design Art Déco du Reverso est iconique, mais il peut ne pas correspondre aux goûts de ceux qui préfèrent les montres plus rondes ou au style plus sportif. C'est une question de préférence personnelle.

Au au tout début je vois arriver dans mes suggestions Facebook une publication d’un projet totalement fumeux qui répondait au doux nom de Goldgena Concept . Je décide d’y participer pour rigoler et rien d’autre. Au fure et à mesure que le projet avance et que les créateurs du projet nous demandaient véritablement nos avis sur la conception de la montre, je m’y suis de plus en plus impliqué . Le point de discord était le changement de nom en « Code 41 », nous étions plusieurs frondeurs qui ne voulaient pas changer le nom. Puis le moment était venue demandaient financer le projet par kickstarter et la j’ai craqué pour cette magnifique code 41, limited edition a 55 exemplaires. Malgré un mouvement « moins noble que le Swiss made ou Germany made » je porte toujours avec bonheur cette montre. Légère , discrète et peu commune, c’est pour moi en 2016 et encore aujourd’hui un coup de cœur . Petit bonus à la clé , le pvd qui me semblait fragile est toujours là malgré les années qui passent. Cependant je me demande vers qui me tourner pour le sav si un jour elle aura besoin d’une petite révision . La fonction cachée du gmt sur le compteur gauche est une originalité que l’on ne retrouve pas souvent et qu’on oublie quand on la porte .

En tant que passionné de montres, la TAG Heuer x Hodinkee Carrera Chronograph Seafarer m'a immédiatement séduit. Voici mes impressions : Ce que j'aime : L'héritage revisité. Cette montre est un hommage magnifique à la Heuer Seafarer de 1968, une pièce emblématique. J'adore la façon dont TAG Heuer a su moderniser ce design vintage tout en conservant son esprit d'origine. Le cadran noir opalin avec ses compteurs bleus est tout simplement superbe. Il évoque l'univers marin et l'esprit d'aventure. Les complications utiles : La complication marégraphe couplée au chronomètre est un véritable atout. En tant que surfeur, je sais que cette fonction me sera très utile pour anticiper les marées. La phase de lune ajoute une touche de poésie à la montre. l'utilité des complications ne s'arrête pas au surf, je pense l'utiliser lors de mes sorties pêche, ou même pour la cueillette des champignons. La technicité : Le mouvement TH20-13 avec sa réserve de marche de 80 heures est impressionnant. C'est très pratique de pouvoir laisser la montre de côté pendant un week-end sans se soucier de la remonter. la masse oscillante bidirectionnelle est très efficace et permet un remontage optimal. le verre glassbox est un détail que j'apprécie beaucoup, il donne une profondeur et un aspect vintage à la montre. Le bracelet : Le bracelet en caoutchouc tressé est à la fois confortable et résistant, parfait pour les activités nautiques. La boucle déployante avec le "Easylink" est génial a utiliser sur la combinaison ou lorsque vous avez trop mangé chez mamie. L'exclusivité : Le fait qu'il s'agisse d'une édition limitée (968 exemplaires) en hommage a la Heuer 2446C rend cette montre encore plus spéciale à mes yeux. Ce que j'aime moins : La taille du boitier de 42mm, qui pourrais ne pas convenir à tout les poignets. J'aurais préféré la voir sur un boitier de 39mm ( j'ai un poignet de 15,5mm ). Le poids et l'épaisseur de 14mm pourra déranger certaines personnes qui cherchent une montre plus fine et moins lourde. Ce que j'aurais aimé avoir : Un bracelet supplémentaire de type Nato noir avec une bande bleue au milieu pour l'utiliser l'hiver, et ou un bracelet en cuir comme l'original de 1968. Pourquoi je l'ai achetée : En tant que collectionneur, je suis toujours à la recherche de pièces uniques et chargées d'histoire. La TAG Heuer x Hodinkee Seafarer répond parfaitement à ces critères. C'est une montre à la fois élégante, sportive et technique, avec un véritable ADN marin. En résumé, cette montre est un coup de cœur. Elle allie à merveille esthétique, technicité et histoire, et je suis impatient de la porter lors de mes prochaines aventures.

La Panerai Luminor Submersible PAM00025 est une montre de plongée qui présente un certain nombre de caractéristiques intéressantes. Son boîtier en titane lui confère une légèreté appréciable et une résistance à la corrosion, ce qui est un avantage pour une montre destinée à un usage aquatique. Le cadran, avec sa texture particulière, offre une bonne lisibilité, et les index luminescents permettent de lire l'heure dans des conditions de faible luminosité. La lunette tournante unidirectionnelle est une fonction utile pour mesurer les temps d'immersion. Le design de la montre, avec son protège-couronne caractéristique, est typique des montres Panerai. C'est une montre qui a une présence au poignet, et qui peut convenir à ceux qui apprécient les montres robustes et fonctionnelles. En résumé, la Panerai Luminor Submersible PAM025 est une montre de plongée qui possède des caractéristiques techniques intéressantes et un design distinctif. C'est une option à considérer pour ceux qui recherchent une montre de plongée solide et fiable.

L'exploit de Félix Baumgartner, c'est un peu ce qui a fait basculer mon intérêt pour Zenith, et plus particulièrement pour l'El Primero. Comment ne pas être impressionné par cet homme qui, en 2012, a sauté depuis la stratosphère, atteignant une vitesse supersonique ? Et, cerise sur le gâteau, avec une Zenith El Primero au poignet ! Ce qui m'a marqué, c'est de voir cette montre, un objet de précision et de raffinement, résister à des conditions extrêmes : des variations de température incroyables, des accélérations phénoménales... C'était une preuve concrète de la robustesse et de la fiabilité de l'El Primero. Plus qu'un simple ambassadeur, Félix Baumgartner a été un véritable testeur pour Zenith. Il a poussé la montre dans ses retranchements, et elle a prouvé qu'elle était à la hauteur. Cela a renforcé l'image de Zenith comme une manufacture capable de créer des montres d'exception, à la fois belles et performantes. En voyant les images de son saut, avec l'El Primero bien visible à son poignet, je me suis dit : « Cette montre, c'est plus qu'un simple objet, c'est un symbole de dépassement de soi, de courage et d'excellence ». Et c'est ce qui m'a donné envie de posséder une Zenith El Primero. C'est comme avoir un petit bout de cette aventure incroyable au poignet.

La 116710LN, c'est l'incarnation de l'élégance discrète. Contrairement à ses sœurs aux lunettes bicolores, elle se distingue par sa lunette en céramique noire monobloc, une prouesse technique et esthétique. Cette sobriété lui confère une polyvalence rare, capable de s'adapter à toutes les situations, du costume le plus formel à la tenue d'aventurier. Au-delà de son esthétique, la GMT-Master II est avant tout un outil. Sa fonction GMT, véritable complication horlogère, permet de lire simultanément l'heure de deux fuseaux horaires. C'est un clin d'œil aux pilotes et aux voyageurs qui ont fait de cette montre un symbole d'exploration et de découverte. Porter une 116710LN, c'est porter un morceau d'histoire. C'est se connecter à l'héritage de Rolex, une marque qui a marqué l'histoire de l'horlogerie. C'est aussi affirmer son goût pour les belles choses, celles qui traversent le temps sans prendre une ride. La Rolex GMT-Master II 116710LN est bien plus qu'une simple montre. C'est un concentré de savoir-faire, d'histoire et d'émotions. C'est une pièce qui se mérite, qui se découvre et qui se transmet. C'est, à mes yeux, la quintessence de la montre de voyage.