Discover the 13 watches in the Cedfal collection

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13 reviews

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5

108

2 évolutions précieuses chez G-Shock

4.6

Le seul intérêt de mon avis est de présenter 2 changements opérés par Casio qui ont justifié l'acquisition de ce modèle. Parmi les autres modèles G-Shock, j'ai été séduit par le gris "nardo" : cela apporte un côté techno à la montre, et cela change du noir, sans parler des couleurs flashy de certains modèle, tellement douloureuses pour les yeux. D'ailleurs, ce modèle GA -2300 existe également en rose-fuchsia fluorescent et aveuglant, en noir, en blanc, et dans ce gris que je trouve de loin le plus beau, et qui s'accorde bien avec les aiguilles orange. Le cadran est noir. De loin, c'est très minimaliste : bracelet et boitier gris, cadran noir et seulement les 2 aiguilles orange. De près, il est maximaliste : un X en plein milieu du cadran, 3 guichets : 1 pour la date, 1 pour les secondes et 1 guichet analogique à 9h pour les jours. Ce guichet ne se trouve pas au même niveau que les 2 cadrans digitaux, qui ne sont pas à la même hauteur que le X, qui se trouve au-dessous des aiguilles. Ce relief ajouté à une brillance également variable selon la "couche", on a un cadran qui change beaucoup d'aspect selon la distance et la luminosité. Pour le reste, on retrouve les fonctions habituelles des G-Schok de "milieu de gamme". J'apprécie tout particulièrement le changement de fuseau horaire : on choisi la ville, d'abord les aiguilles s'écartent pour facilité la lecture, puis elles se déplacent, un ballet fort sympathique. Je regrette que la LED blanche ne soit pas très forte et que le Super Illuminator ne soit en fait que très moyen. Venons en aux 2 points qui selon moi, font toute la différence : avec un boitier de 45,4mm de diamètre et 11,6mm d'épaisseur, la montre est beaucoup plus petite que les autres modèles, la série GA-2100 par exemple. C'est un bonheur à porter, les dimensions sont parfaites, elle est très légère et confortable. Et cela est encore plus évident avec la deuxième évolution : J'ignore si c'est la première fois chez G-Schock, mais ici le bracelet n'est pas solidaire du boitier : les cornes sont munies de pompes qui permettent une libre rotation du bracelet, cela améliore considérablement le confort, et une fois posée, la montre est parfaitement plate, pratique pour glisser la montre dans un étui. Surtout, le changement de bracelet est facilité. Il était évident que je n'allais pas garder le bracelet en résine et opter pour un bracelet orange en cuir. J'ai eu la chance de trouver chez ABP un bracelet "solo" en alligator de 24mm. Ces bracelets n'existent qu'en un seul exemplaire et ils sont créés à partir de chute de peaux, si bien qu'ils sont proposés à des prix défiants toute concurrence à ce niveau de fabrication. Cela m'a coûté 75 euros, j'ai pu choisir l'entre-corne, la longueur ainsi que la boucle, j'ai opté pour celle en PVD noir Je trouve le choix d'un bracelet en peau logique avec une montre à aiguilles. De loin, on se retrouve avec une montre classique, c'est son côté analogique. En s'approchant, on découvre une montre numérique bourrée de fonctions, toujours à l'heure, et quasi-incassable. Le meilleur des 2 mondes.

16 days ago

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5

135

Une montre pour ado chez Omega

4.9

Je n'ai pas d'attirance particulière pour Omega. Seul un modèle, simple et historique me faisait de l'oeil : La Railmaster, montre historique des cheminots ; ) parce qu'antimagnétique et très précise. Je ne sais pas combien de cheminots l'ont portée, certainement très peu, sinon les trains seraient à l'heure... C'est le cygne noir de la collection qui m'attirait : celui au cadran bleu-jean avec l'aiguille des secondes orange qui s'inspire des coutures du célèbre pantalon. Et je suis arrivé au bon moment (et surtout au bon endroit) car je crois que cette collection n'a jamais connu un grand succès, et ce modèle en particulier. Elle n'est pas restée longtemps au catalogue, raisons pour lesquelles, on peut la trouver à un prix vraiment très intéressant. Je trouve que les dimensions et les proportions sont vraiment parfaites. Je suis surpris que la hauteur soit de 12,7 mm, car au poignet, elle parait beaucoup moins épaisse, peut-être est-ce dû au verre saphir qui affleure à la lunette ? La grande ouverture de cadran participe à une lisibilité parfaite. La simplicité des lignes laisse la part belle au cadran : un bleu discret et original avec des stries verticales fines de tailles différentes qui rappellent la trame du denim. Cette texture permet de jouer avec la lumière ; ce qui n'est n'est pas bien mis en évidence sur les photos. C'est fréquemment le cas, mais cette montre est vraiment (vraiment) plus belle en vrai qu'en photo. La fine croix blanche centrale "habille" le cadran et les éléments convergent vers le centre : à la périphérie, le chemin de fer délimite le terrain, les index triangulaires pointés vers la croix, tout dirige l'oeil vers le point central couleur brique de la trotteuse. Ce cadran est plus complexe qu'il n'y parait, et vraiment très agréable à regarder. De nuit, c'est également la lisibilité qui prime avec des index et les aiguilles de bonne taille. La luminescence est correcte, mais surtout d'un beau bleu "mentholé". Rien à dire sur le bracelet acier, simple et efficace. J'aurais bien choisi le bracelet en jean avec les passants qui reprennent le orange "couture" de l'aiguille des secondes, mais je déteste les bracelet NATO, et puis le total look "Jean" aurait gâché la sobriété et l'élégance décalée de cette montre. La montre est très agréable à porter, elle plaque bien le poignet, je la trouve étonnement légère pour une montre tout acier. Pionnière de l'anti-magnétisme, étanchéité à 150 mètres, couronne vissée, fonds du boitier joliment gravé, précision que j'ai mesurée entre - 5 et -15 secondes par mois... rien n'est laissé au hasard. Enfin, je trouve que la boite est superbe et très bien conçue avec une boite de voyage intégrée.

18 days ago

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2

119

Ma grosse patate

4.7

La première fois que j'ai vu cette montre, je l'ai trouvée assez moche... Et puis le temps passant, je l'ai trouvée "intéressante" et même rigolote. La couleur beige-or du cadran et de la lunette qui alterne avec le boitier noir (plutôt gris graphite) est plaisante, et surtout les 4 "bourrelets" qui font l'identité de la montre ont commencé à me faire de l'oeil. J'ai regardé des tests en vidéo, tous très positifs, et décortiqué ses spécifications, ce qui a fini par me faire franchir le pas. On peut trouver le modèle en-dessous de 300€, je ne prenais donc pas un énorme risque. Le calibre E168 est un quartz, mouvement Eco-Drive qui garanti(rait) une réserve de marche de 180 jours après une courte exposition à la lumière. On ne s'occupe de rien... La dérive de ma montre n'a jamais excédé 5 secondes par mois. Le boitier est en titane : le Super Titanium de Citizen. La montre est encore plus légère que je le pensais. Au poignet, elle ne se fait pas sentir. Elle est vraiment confortable, et malgré son côté un peu "mastoc", je trouve qu'elle passe très bien sur mon petit poignet. Le cadran est bien lisible avec de gros index et de grosses aiguilles, mise à part l'aiguille des secondes qui est fine et lancéolée. J'aurais préféré une absence de date, mais le guichet est petit et discret, en plus je trouve que l'index de 3h à sa droite participe à sa bonne intégration. La lunette tourne comme un tracteur, renforçant l'impression de robustesse générale. Je trouve la couronne avec son relief façon Citizen réussie. Elle est vissée, la montre est étanche à 200 mètres. La luminescence est vraiment impressionnante, comme toujours chez Citizen. Le bracelet caoutchouc semble indestructible. Il est extensible, et la boucle ne fait pas dans la dentelle. A noter que contrairement à de nombreuses Casio G-schock, une fois posée, elle est parfaitement plate, ce qui peut être pratique. Je recommande vraiment cette montre si son look ne vous rebute pas, c'est pour moi la montre parfaite pour l'été, et pour barouder : elle est légère mais robuste, étanche à 200 mètres, elle ne demande aucune attention pour fonctionner, et elle est super précise.

19 days ago

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4

130

Montre très technique

4.6

Je n'avais jamais vu cette montre "en vrai" mais sur le papier ses spécifications m'intéressaient, avec la possibilité si elle ne me plaisait pas, un retour qui avait l'air facile. Et bien je l'ai gardée... D'abord parce qu'elle a tout de suite plu à mon poignet : dimensions et forme du boitier, confort, légèreté et système de fermeture du bracelet. Ainsi que pour plusieurs raisons techniques : - Le boitier est monté sur un système de ressorts qui permet de suivre les mouvements du poignet. La montre est très agréable à porter, mais je ne sais pas du tout si cela en est la cause. Cela est également sensé protéger le calibre en cas de choc, heureusement, je n'ai pas encore la réponse. - Le cadran est en météorite plaqué sur de l'or rose. Je trouve le cadran plus lumineux que sur les photos, cela plait, ou pas. Personnellement cela me convient, cela apporte de la brillance, et selon la luminosité, les motifs de la météorite (Widmanstätten) ressortent plus ou moins. A noter que le guichet date est très bien intégré. - Le calibre Sellita est certifié par le COSC (certificat fourni). Je possède la montre depuis 1 mois, la dérive est de moins 2 secondes. - Enfin, leur système d'attache du bracelet breveté permet un ajustement de la taille très rapide. Je trouve cependant que sur le poignet, la superposition des 3 couches : 2 brins + la boucle en carbone est un peu épaisse. Je ne possède pas ce modèle depuis longtemps, mais pour le moment j'en suis très satisfait.

21 days ago

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4

122

La merveille oubliée

4.6

Cet achat n'était pas du tout prévu. Cette manufacture me faisait rêver, mais "son positionnement" tarifaire ne m'a jamais fait envisager d'acquérir un de ses modèles. Pour moi, Jaquet Droz, c'était avant tout le "8", qui marquait l'identité de la marque, et qui bizarrement pour une manufacture fondée en 1738, spécialiste des automates et des métiers d'art, renvoyait une certaine modernité. Rachetée Swatch, la manufacture renaissait un peu de ses cendres ; avec de mon point de vue une stratégie globale du groupe Swatch concernant ses 3 marques de luxe : Blancpain mise tout sur sa Fifty Phatoms, Breguet reste le porte amiral que le groupe s'est apparemment décidé à relancer, de manière assez agressive ces derniers temps. Reste Jaquet Droz. On en voyait de moins en moins. J'avais fini par l'oublier. Mais en maraude dans ma ville préférée, je suis tombé par le plus grand des hasards sur ce superbe modèle en or rouge et au cadran émaillé, limité à moins de 100 exemplaires dans le monde (information donnée par la manufacture). A ce stade, je dois préciser que le prix proposé était pour ce modèle neuf, plus de 3 fois inférieur au prix catalogue. De quoi accélérer ma pulsion d'achat... Mettre à mon poignet (durablement) un modèle légendaire, dans sa livrée, selon moi, la plus élégante, devenait une possibilité... une évidence, et une réalité moins de 30 minutes plus tard. D'abord le boitier en or rouge très chaleureux, et beaucoup plus convainquant à mon goût que l'or rose, que je trouve souvent assez fade. Associé au cadran émaillé beige parchemin, c'est une sorte de force tranquille qui dégage beaucoup de sérénité. Les cornes trapues, le verre bombé, et toute cette masse d'or... En fait, on est aux antipodes des modèles de la collection classique de la grande soeur Breguet que j'adorent également. Ici, beaucoup moins de préciosité, de "platitude" que chez Breguet, et beaucoup, beaucoup plus d'or. Les cornes sont massives, assumées, courbes (merci). La couronne est très agréable à tourner, bien préhensile, elle ne fait pas mal aux doigts, et son mignon petit mamelon est fort agréable à regarder, et à caresser... Place au fameux "8" : ici encore l'hyper-classicisme devient presque avant-gardiste. En haut, le cadran des heures-minutes, subtilement plus petit, est tout en rigueur : aiguilles dauphines en or, chiffres romains, hyper lisible. Le cadran du bas, subtilement plus grand donc, est aussi beaucoup plus fou-fou, avec des détails qui font toute la différence et l'identité de la montre. Seconde et date sont réunies dans le même sous-cadran, la grande aiguille des secondes trotte tout autour du mini chemin de fer, ce qui donne l'impression que c'est elle qui trace le cercle. Le bout de l'aiguille de la date ainsi le 31 du mois sont rouges pour un peu de fantaisie, et enfin, cette montre ne faisant rien comme les autres, il n'est pas écrit swiss made, mais le plus charmant : "manufacturée en suisse". Le fonds de boite est également très bien décoré, j'apprécie tout particulièrement le relief des caractères qui constitue le nom de la marque sur la masse oscillante. Ce modèle n'est plus au catalogue, il me semble que la survie de Jaquet Droz repose aujourd'hui uniquement sur des modèles d'exception pour la plupart réalisés en très faible série ou sur-mesure. Cela semble être le positionnement de JD pour se démarquer de Breguet et Blancpain. Je me réjouis d'autant plus d'avoir pu mettre la main sur ce dernier des Mohicans.

22 days ago

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5

129

S'il ne devait en rester qu'une

4.8

Troisième GS pour moi, deuxième à quartz avec le diabolique calibre 9F86 qui assure une précision d'une poignée de seconde par an. Chez GS, je cherchais un modèle sport, robuste mais au diamètre contenu. J'aurais aimé un Spring Drive, mais je fus tout de suite attiré par l'harmonie de ce cadran noir. Comme souvent chez GS, l'essayer, c'est l'adopter : les proportions sont parfaites pour mon poignet : 39X12,3 mm, un LtL de 45,9mm, et surtout des cornes courtes et courbes qui épouse parfaitement le poignet. Je ne suis pas un grand fan du GMT : quand je suis en vacances à l'étranger, je n'ai pas envie qu'une grosse aiguille me rappelle qu'il faudra rentrer, tout en m'empêchant de lire l'heure qu'il est sur la plage... Mais ici rien de tout cela : l'heure est parfaitement lisible , et l'aiguille GMT est discrète, pareille à une flèche acérée. Jusqu'ici, c'est tout le contraire d'une Tudor, et je m'en félicite ; ) En général, je ne suis pas un grand fan du guichet date, mais ici, encore une fois l'intégration est parfaite, située à 4 heure, et l'intégration est renforcée par la couronne (vissée) située également à 4 heure. Sur la couronne, les chiffres pour le second fuseau horaire sont magnifiquement gravés. La luminescence n'est présente qu'à 0, 3,6 et 9 heures, mais pour moi, cela contribue à l'élégance et la sobriété de la montre. Pour chipoter, je dirais bien que le seul défaut du bracelet (et de la montre) c'est l'absence de micro-réglage, mais je ne le dirais pas... Je suis passé rapidement du bracelet acier à un bracelet GS en alligator pour pencher du coté élégant de la force, et puis finalement, je suis retourné au bracelet acier d'origine, car cette montre de sport étanche à 200 mètres parvient, du fait de sa conception, être raffinée. Et ceci sans appartenir à la famille (trop) nombreuse des montres "sport chic" consanguines. Au final, cette montre concilie tout les paradoxes : robuste et précieuse à la fois, simple et originale, harmonieuse bien qu'asymétrique... En plus d'être précise, lisible et confortable. Les Japonaises sont définitivement les plus sexy.

23 days ago

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3

538

Retour au pays d'autrefois

4.1

J'hésitais entre la PRX Powermatic 35 et 40mm, quand tout à coup, il a traversé tout l'univers aussi vite que la vitesse de la lumière... Et oui, c'est bien lui, Goldorak, ou plutôt de son nom Japonais : Gurandaiza, bien qu'il soit beaucoup plus connu en France et en Italie qu'au Japon. Plus d'hésitation, c'est ce modèle qu'il me fallait. Bien que cela ne soit pas une édition limitée, la montre est vite devenue indisponible sur le site de Tissot, heureusement un AD bien connu allait en recevoir. Je le remercie. A noter qu'elle est à nouveau disponible sur le site officiel. Vous l'aurez compris, il s'agit plus d'un caprice d'enfant que d'un graal horloger, mais quand même, sans m'appesantir sur ses caractéristiques qu'elle partage avec les PRX automatiques qui n'ont jamais quitté la Terre, il s'agit d'une montre sympathique avec 80 heures de réserve de marche, très précise (environ 30 secondes d'avance par mois), un bracelet agréable au portée et très facile à changer. J'ai d'ailleurs acheté un bracelet caoutchouc qui je trouve correspond davantage au côté régressif de la montre. Pour la "UFO ROBO GURANDAIZĀ" proprement dite, j'apprécie l'absence de date (Goldorak se trompe souvent de jour). La "Goldorakisation" subtile, à 50 cm, on ne distingue pas qu'il s'agit d'un modèle exclusif. On a bien sûr le buste du robot gravé peu profondément sur le cadran, l'aiguille des secondes en forme d'astéro-hache , et des gravures au-dessus du chemin de fer et sur la masse oscillante. Et la boite : le vaisseau spatial, très sympa. Je regrette que le boitier n'épouse pas suffisamment le poignet à mon goût, comme les autres PRX. L'inscription de la marque sur le poitrail de la bête est malvenue mais ils ne pouvaient pas ne pas LOGOter, n'est pas Moser qui veut. En revanche, je suis très déçu par le luminova beaucoup trop faible. Sur les photos, la silhouette de Goldorak apparait en vert, ce qui a beaucoup de charme, malheureusement en vrai, c'est fugace et pas spectaculaire du tout. Le surcoût est un peu élevé par rapport aux modèles terrestres mais l'exclusivité a un PRiX.

4 months ago

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5

404

Le début d'une histoire d'amour

4.8

Cette GS quartz fut ma troisième. Après 2 modèles mécaniques (Nomos et Ming), j'avais envie de me faire plaisir, et de monter en gamme, sans idée préconçue, il fallait juste que je sois séduit. J'habitais à Genève, les essais furent donc faciles et nombreux. Malheureusement, pour un poignet de 16 cm, j'ai vite déchanté... Même pour des modèles de 39mm et moins, le diamètre n'était pas démesuré, mais aucune montre ne seyait à mon poignet : Tudor, Zénith, Mont-Blanc, H.Moser, Girard Perregaux, Glashutte Original... Ça ne collait pas. Et, pour les montres de moindre diamètre, cela manquait de présence, ou cela faisait trop bijou à mon goût. A l'époque, Seiko venait d'enlever les 2 indications pour ne laisser que la marque Grand Seiko. J'ai essayé un premier modèle, ce fut la révélation. Certes, la montre ne faisait que 37mm, mais elle épousait parfaitement mon poignet. A partir de là, je me suis passionné pour la marque. Ma première Grand Seiko est donc une montre à quartz, ce n'était pas mon souhait initiale mais je ne le regrette pas du tout. Depuis 6 ans et un changement de pile, la dérive est de moins de 5 secondes par an. Le bracelet en titane est super confortable, seul petit problème, pas de micro-réglage. La lisibilité est parfaite. Pour les finitions, c'est du Grand Seiko. J'ai récemment essayé un superbe modèle Spring Drive de 44,5mm de diamètre et 50mm de LtL, et bien Ça passe très bien. Japon 1 - Suisse 0

6 months ago

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8

649

Montre exclusive mais peu lisible

3.9

Il y a un an et demi, je m'étais arrêté au showroom de Kurono, un endroit charmant où j'avais pu essayer les quelques modèles exposés qui étaient tous en rupture de stock. La Reiwa 2024 n'était pas encore sortie, mais les essais m'avaient conforté sur la qualité de fabrication, le raffinement, et la "portabilité" de la marque. A croire que la fabrication de boitiers qui collent aux poignets de petite taille soit une spécialité (exclusivité ?) Japonaise. Quand la Reiwa anniversaire est sorti, sur photo, le cadran avait l'air beaucoup plus travaillé que les anciens modèles avec une belle nuance de bleu translucide qui entoure un noir profond : un mariage du plus bel effet. Je me suis donc précipité pour l'acquérir. Suivi et livraison : comme d'habitude, service Japonais parfait. La montre se trouve dans un bel écrin enveloppé dans un tissu furoshiki. En vrai, de part sa petite taille, la montre est encore plus précieuse qu'en photo : un vrai petit bijou très agréable à regarder. Le cadran, les aiguilles, les cornes, le boitier, tout est délicat. En revanche, je ne parlerai pas de minimalisme. Le bracelet est très souple, très agréable à porter, sa tranche du même bleu-vers que le liseré du cadran accentue magnifiquement l'harmonie dégagée par cette montre. Mais gros point noir pour moi : la longueur des aiguilles des heures et des minutes. Les 2 aiguilles de forme feuille n'ont certes pas la même longueur, l'aiguille des minutes se prolonge sur la zone bleuté qui comporte des cercles concentriques et métalliques de la même brillance. Selon l'exposition, j'ai beaucoup de mal à distinguer les 2 aiguilles, et donc à lire l'heure... Avec des cadrans laqués comme ceux des modèles urushi, l'heure est beaucoup plus lisible. Je suis retourné le mois dernier à la boutique, j'ai vu le chrono Shanghai edition (qui n'était pas en rupture de stock et pouvait apparemment être acheté en magasin) : superbe, mais pas plus lisible et bien plus cher. Je poste une photo sur laquelle on voit bien qu'un cadran clair n'arrange pas la lecture de l'heure...

6 months ago

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