Intemporelle, iconique, robuste, fiable, simple et efficace. Index tritium avec une patine de folie, lunette legerement bleuie, cette 14060 me fait toujours craquer. S'il devait en rester 2, elle ferait partie du lot (avec ma Zenith El Primero Revival A384). Modele de 1991, elle allie a la fois les avantages du vintage avec ses index tritium et sa lunette alu, et les avantages du moderne (robustesse du mouvement, precision et etancheite)

Ma SUB 14060M, que dire… Une icône souvent copiée mais que rien ne remplace. La diver que l’on souhaite voir trôner dans sa collec. Cette référence « no date » allie simplicité et sobriété avec sa lunette alu, à mon gout, plus discrète que les références qui vont lui succéder. Si il devait n’en rester qu’une, ce serait elle bien entendu…

La « chrono »logie dans l’achat de cette montre a son importance, et oui,… après avoir fait l’acquisition de la montre de mes rêves de gamin 5,6 ans auparavant, une Date 15200 bleue, avec son bleu fou…j’étais tellement comblé avec que je n’avais aucunement besoin d’une autre, l’ayant portée tous les jours pendant 5 ans sans faute comme si c’était une quelconque Swatch… puis, vint le moment… où quand je m’habillais en noir… la Bleue…. C’était « à chier »…. Et au même moment, quand je voyais toutes ces personnes autour de moi, souvent bien portée…. Surtout quand c’était « une vieille », tous les acteurs de cinéma, chanteurs, artistes…. Tout le monde que j’admirais l’avait…. Elle n’était pas forcément ma préférée au départ… la preuve, je l’ai achetée après la bleue à la taille parfaite…. Et puis, un matin… j’avais les sous en cash planqué chez moi…. Je regardais un bouquin de photos de Steve McQueen, il avait une No Date… et bim, c’est parti… je demande autour de moi qui peut m’avoir 20 points… impossible en 2005… (j’avais eu une remise de 20% sur la bleue fin 99…) mais j’arrive tout de même à avoir les 10 points… Good!!!! 3290€!!! C’est vite oublié 😁…. Au même moment, j’avais vu une sublime Red Sub des 70’s à 3800€, en 2005 c’était possible… aujourd’hui, elles valent facilement 20 ou 25.000 … tant pis… j’étais moins audacieux… et puis je voulais qu’elle soit mienne… je la patinerai moi-même…. Et là, coup de foudre…. Pendant 5 ans au moins, je ne porte que la Sub… à l’époque tout le monde la voulait avec la date… les modes changent et m’ont donné raison…. Quand les gens remarquaient que j’avais une Sub, toujours la suspicion que ce soit une fausse, et je leur expliquais, oh la oui… c’est vraiment banal de porter ça… d’une banalité déconcertante… je m’en excusais presque, impossible d’avoir une fausse c’est ridicule il y en a eu des millions …. Mais au fond de moi, je savais que c’était la plus désirable… j’ai connu des collectionneurs aux montres incroyables… et qui ne portaient que leur Sub tous les jours… c’est de là que j’expliquais à tout le monde… c’est quoi la bonne montre???? Celle qu’on ne met jamais dans un tiroir…. Et surtout ne pas acheter des modèles similaires d’autres marques moins chères …. Tout en continuant de rêver d’une Sub sur le poignet des autres…. Achat d’une vie, qu’on ne regrette jamais…. Et que j’aurais plaisir immense à léguer à mon fils plus tard avant de caner….😁ça fera le lien à vie s’il ne se la fait pas taper….

Ma Rolex Submariner tient une place particulière en tant que première incursion dans le monde des montres de luxe. Son acquisition en 2015 suite à un événement, me lie à elle de manière indéfectible. À l'époque, la quête d'une Rolex ne nécessitait pas la patience actuelle de x années d'attente, sans garantie de succès. Mes parents, partant en voyage, ont consulté la boutique Rolex de l'aéroport pour cette montre spécifique. Indisponible sur place, ils ont appris qu'elle l'était à Paris, conditionnant sa mise de côté à ma visite dans les deux jours suivants, sans antécédent dans cette boutique. Ma première montre de luxe s'est inscrite dans ma vie à l'âge de 32 ans, époque où mon horizon horloger était limité. Naturellement, Rolex est devenue une évidence. La Submariner, emblème de la marque, m'offrait le choix entre la Sub Date et la No Date. J'ai opté pour cette dernière, plus fidèle au modèle originel et dont l'équilibre du cadran, sans date, me semblait optimal, écartant également la présence d'un cyclope. Pour détailler mon avis, je vais aborder chaque partie de la montre. Le verre saphir, élément crucial pour une montre-outil, s'impose comme un atout réel, avec le logo Rolex gravé au laser, un détail que j'ai découvert plus tard, mais qui renforce l'attention portée aux détails caractéristique de Rolex. La lunette unidirectionnelle offre une manipulation agréable, avec une céramique étincelante, résistante aux rayures, et destinée à conserver son éclat dans le temps. Ce n'est pas un aspect qui me gêne ; si j'avais souhaité un modèle qui patine avec le temps, j'aurais opté pour du vintage. L'éclat actuel resteras le meme quand ma fille la porteras un jour. Le cadran, tout aussi éclatant, séduit par ses quatre lignes qui occupent harmonieusement l'espace. L'absence de date contribue à une symétrie parfaite, accentuée par le rehaut gravé Rolex, véritable plaisir visuel. L'utilisation du Super-Luminova Rolex pour les index et les aiguilles ajoute une fonctionnalité précieuse en offrant une lisibilité exceptionnelle dans l'obscurité. Avec ses 40 mm, le boîtier s'ajuste parfaitement à mon poignet de 17,5 cm. La finesse de la montre assure des proportions idéales. Le mouvement, fiable et précis, a nécessité une révision au bout de 8 ans, marquée par l'arrêt de la montre suite à un ressort moteur cassé. L'étanchéité de cette montre garantit une robustesse indéniable. Quant au bracelet, son port est sans reproche, agréable, avec le système Glidelock permettant des ajustements estivaux lorsque le poignet a tendance à gonfler. Pendant cinq ans, cette montre a été mon compagnon quotidien, résistant à toutes les épreuves, une véritable montre-outil. Elle a voyagé avec moi, a été immergée dans toutes sortes d'aventures, de New York à Marrakech. Elle ma suivi en quad, jet ski, buggy, ski… Aujourd'hui, je lui accorde un peu plus de ménagement, ma collection s'étant élargie, et mes autres montres prenant le relais. En conclusion, ma Rolex incarne ma première véritable montre. Témoin de mes périples, elle demeure le pilier sûr de ma collection, s'accordant avec toutes les tenues. C’est toujours amusant de voir le regard des gens se poser dessus. Incontournable, intemporelle, elle est bien plus qu'une simple montre, c’est une Rolex.

version "100m" de la fameuse Submariner portée par James Bond (la référence 6538, étanche à 200m), la référence 6536 en reprend tous les attributs, mis à part l'épaisseur de boitier réduite et la couronne plus petite. C'est une montre de plongée professionnelle des années 50, qui se distingue aujourd'hui par son charme intemporel et son design épuré, surtout avec un cadran laqué "tropical".

Voilà l'une des montres les plus importantes de ma collection, une superbe Rolex Submariner référence 114060. Je ne vais pas être très original pour raconter que c'était mon graal absolu et que mon rêve a été exhaussé ! J'utilise l'imparfait comme la perfection n'existe pas dans ce bas monde. Il n'y a rien à redire sur la robustesse ou la précision très largement à l'intérieure de +2/-2 secondes annoncées, mais plutôt sur le fait de relativiser les choses. Depuis la sortie de la nouvelle référence 124060, j'ai le sentiment que la 114060 est un peu "bestiale" avec son boitier très large au niveau des cornes ! Est-ce que je me suis précipité quand j'ai pu l'avoir ? Aurai-je dû choisir une plus ancienne comme une 14060 ? J'avoue ne plus trop savoir quoi penser ! Ou plutôt si ! En fait, j'ai atteint mon graal et je me rends compte maintenant qu'il y en a d'autres des graals plus modestes, plus chères, plus rares, plus simples... Bref pas facile d'envisager la suite après avoir eu sa Sub ! Revenons à la montre : ultraconfortable, solide, moins reconnaissable qu'une Rolex avec la date mais pas mécontent non plus de l'effet qu'elle produit sur mon entourage ! A refaire en réfléchissant peut-être un peu plus à mes goûts plutôt qu'à mes rêves... Merci Xavier et toute l'équipe Dialicious pour cette superbe plateforme +1

Quand : part.1 du chemin (rappel part.0: c’était une imitation de Swatch modele camouflage) c’était donc quand j’étais interne et que je phophrais dans l'ombre en revant à une montre automatique Comment ; une chef de clinique, FAM, un blog de fou sur "ma Rolex Sub 14060M 2 lignes. Emotion : montre pas assumée les 3 premiers mois par son prix (3200 euros) tans je ne pensais pas que cela fut raisonnable par rapport à mes parents, ùes amis ou bien les gens en general. je l'ai pas quitté pendant 10 ans. The next one : une IWC mark XV sur la bay

On a tout dit, tout vu, tout redit et tout revu sur Rolex, a fortiori sur la Submariner. Et pourtant ! Celle-ci est une 14060M (4 lignes) dont j'ai fait l'acquisition il y a plus de deux 2 ans via le CDA. C'était ma première "folie" horlogère. Depuis mes goûts en matière de montres ont bien sûr beaucoup évolué : passé par Longines, Cartier, Patek Philippe, Omega, revenu 2 fois à Rolex (plus vintage), etc, rien n'y fait. Cette montre est tout simplement pour moi inégalable. Loin du bling bling de certains modèles Rolex qui brillent de 1000 feux (DateJust 41 lunettes cannelées et autres modèles céramiques ou bracelets polis miroirs), celle-ci est pour moi la quintessence de Rolex, avec suffisamment de modernité sur le confort et la robustesse à toute épreuve et la taille contenue et la lunette alu. Un défaut peut-être ? On voit trop de Submariner partout... que ce soit sur les réseaux, ou dans la rue/en terrasse de café : souvent dévoyée au poignet de costumes-cravates qui font souvent mauvais ménage avec l'essence de cette plongeuse sportive et tout-terrain. Dans ce cas, une recette simple : vous la laissez plus d'une semaine dans la boîte à montre et l'excitation revient au galop !

La Submariner 5513 est la classique des classiques de la Rolex sportive et tout a déjà été écrit dessus. Les premières versions à cadrans laqués sont particulièrement désirables de par le charme de leur cadran au marquage doré. Lorsqu'il s'agit en plus d'un rarissime exemplaire vendu chez Tiffany & Co. à New York et possédant le double marquage sur un cadran qui a viré chocolat, le terme iconique prend alors tout son sens.

La submariner 124060 un classique a avoir mais qui malheureusement ne patinera pas c’est pour moi son seul défaut sinon elle est parfaite car indémodables , robuste, précise et confortable c’est pour Tous cela qu’elle est intemporelle Attention tout de même au prix qui devient fou pour une montre sans complication.