Discover the 16 watches in the Picasso collection

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16 reviews

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13

223

chronique d’un coup de foudre horloger !

5.0

Panerai et moi, c’est une véritable histoire d’amour. Une passion née au début des années 2000, lorsque je découvre cette montre au poignet de Sylvester Stallone. À mes yeux, c’est une révélation : unique, robuste, monumentale, cinématographique… Une pièce à part dans l’univers horloger, qui s’impose immédiatement dans mon esprit. Dès cet instant, je n’ai plus qu’un objectif : m’en procurer une. C’est ainsi qu’au milieu des années 2000, je fais l’acquisition de ma première Panerai : la PAM 177. Une Luminor Marina en titane, avec petite seconde décentrée et fond saphir dévoilant un mouvement Unitas. Un modèle sobre, technique et élégant, qui me comble… jusqu’au jour où je dois m’en séparer. Un crève-cœur que je regretterai pendant de longues années. Après une quête patiente et passionnée, je tombe enfin sur celle qui va raviver la flamme : une PAM 116, édition 2002. Une véritable pépite, produite en quantité très limitée — 1200 pièces en 2002, seulement 300 en 2003. Son cadran brun, couleur « cap de cigare », est d’une beauté à couper le souffle. Il offre un contraste saisissant avec les aiguilles luminescentes recouvertes de Luminova, jouant avec la lumière et les reflets du soleil selon l’angle d’observation. Le cadran est d’une pureté rare : deux aiguilles, quatre chiffres, deux mentions, et la discrète inscription Swiss en bas. Rien de superflu. Le titane, que j’affectionne tout particulièrement, sublime l’ensemble. Et une fois encore, le fond saphir dévoile un mouvement Unitas finement décoré, orné de petits « Panerai » gravés horizontalement. Mais ce qui distingue encore plus cette pièce, c’est sa boucle : un design inédit, que je n’ai vu que sur ce modèle. Elle s’éloigne des boucles classiques de la gamme Luminor, tout en s’accordant parfaitement avec le bracelet et la personnalité de la montre. Je suis panéristi, et je l’assume pleinement. Depuis que j’ai retrouvé cette pièce tant convoitée, je la porte presque tous les jours. Je l’ai acquise en seconde main, à un prix abordable, chez un revendeur marseillais de confiance. Et cette fois, c’est sûr : je ne m’en séparerai plus jamais. Prochaine étape ? Un pèlerinage horloger à Paris, direction la Casa Panerai sur les Champs-Élysées… avec ma PAM 116 au poignet, évidemment.

13 days ago

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2

89

Une montre Boyingtonniene

4.3

Depuis que je suis tombé dans l’horlogerie, la Breitling Navitimer a toujours été là, en arrière-plan. Une sorte d’évidence silencieuse. Une icône incontournable. Et pourtant, à chaque occasion, je l’ai laissée de côté, lui préférant une autre – un modèle plus discret, un style différent, un coup de cœur du moment. Mais un jour, presque par hasard, au détour d’une liquidation chez un grand bijoutier, elle m’attendait. Une Navitimer Blue Edition, 43 mm, équipée du tout nouveau calibre B01. Un modèle récent, mais encore signé du mythique logo à l’encre et aux ailes. Autant dire un clin d’œil au passé dans une robe contemporaine. Boîtier poli, bracelet pilote, cadran bleu profond. Belle, racée, technique. Évidemment, j’ai craqué. Comment ne pas céder ? Je suis reparti avec elle au poignet, le cœur battant, avec cette sensation euphorique d’avoir enfin trouvé “la bonne”. Mais voilà. Passée la lune de miel, j’ai commencé à douter. Oui, elle est impressionnante. Oui, le mouvement est top, la finition impeccable. Mais quelque chose manquait. Ce petit supplément d’âme. Ce charme un peu désuet, ce feeling brut qu’ont les Navitimer d’avant, celles d’avant les années 2010. Ce cadran panda, plus équilibré. Cette présence plus mesurée. Car malgré ses 43 mm “contenus”, l’ouverture du cadran la rend plus imposante qu’elle ne devrait l’être. Et ce bleu, associé au noir, manque peut-être de contraste. Trop de poli miroir aussi : entre le boîtier et le bracelet, c’est presque trop clinquant pour moi. Bref, elle s’éloigne – doucement mais sûrement – de ce que j’aime dans l’esprit Navitimer. Alors je réfléchis. Et si ce n’était qu’un pas de côté, avant le vrai saut ? Je pense à la revendre. Et à repartir vers un modèle plus ancien, plus pur. Une 2008, une 2009 peut-être. Ou même un vrai vintage. Cadran noir, sous-cadrans blancs. Un diamètre de 40 mm, parfait à mes yeux pour une montre d’aviateur. Et un bracelet perso, en cuir, qui raconte une autre histoire. Un côté plus tête brûlée si vous avez la réf. Parce qu’au fond, la Navitimer de mes rêves, je ne l’ai pas encore trouvée. Mais je me rapproche. Et c’est peut-être ça, la vraie quête horlogère : apprendre à écouter ce que chaque montre nous dit… pour finir par entendre ce que l’on cherche vraiment.

16 days ago

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8

132

Bleu intense, ADN historique : l’effet SuperOcean

4.5

Parmi mes acquisitions chez Breitling il y en a une qui s’est imposée dès le premier regard : la Breitling SuperOcean Heritage 46 mm bleue. Un vrai coup de cœur. Pourtant, je ne suis pas du genre à me laisser éblouir facilement, mais cette plongeuse a quelque chose d’unique. Une élégance urbaine mêlée à une décontraction assumée. Derrière son impressionnant diamètre de 46 mm, cette SuperOcean reste étonnamment fine et bien proportionnée. Entièrement vêtue de bleu – un bleu profond, légèrement clinquant sans jamais tomber dans l’excès – elle impose un style casual chic absolument irrésistible. Ni tape-à-l’œil, ni trop classique, juste ce qu’il faut de présence pour s’adapter aussi bien à un costume qu’à un jean. Côté cadran, sobriété et efficacité : trois aiguilles, date à six heures, rien de superflu. C’est cette pureté qui lui donne tout son charme. Sous le capot, le calibre manufacture B20, développé en collaboration avec Tudor, assure une belle performance avec ses 70 heures de réserve de marche. Une mécanique fiable, moderne, au service d’un design qui rend hommage à l’héritage de la maison. Depuis l’arrivée du nouveau CEO, j’apprécie franchement la direction que prend Breitling. On sent un vrai renouveau, un recentrage sur des lignes fortes et cohérentes. Et pour une fois, j’ai le sentiment que le rapport qualité-prix est à la hauteur. D’ailleurs, pour cette pièce, j’ai opté pour un mode d’acquisition un peu différent : une boutique à Monaco, ni AD officiel, ni boutique Breitling, mais proposant du neuf à -25 %. Une excellente surprise qui rend cette montre encore plus savoureuse. En résumé : une plongeuse au look raffiné, au mouvement robuste, et au charme fou. Je la porte souvent, je ne m’en lasse pas. C’est exactement ce que j’attends d’une montre : qu’elle accompagne toutes les facettes de mon quotidien avec style et discrétion.

20 days ago

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3

100

Per Ardua ad Astra

4.4

Je ne vais pas vous refaire tout un laïus sur mon amour pour les G-Shock – si vous me lisez régulièrement, vous savez déjà que c’est une passion bien ancrée. Je ne publie d’ailleurs pas une revue pour chaque modèle de ma collection (il y en aurait trop !), mais il y a des pièces qui méritent qu’on s’y attarde. Cette Gravity Master en fait clairement partie. Il s’agit d’une édition limitée très spéciale, issue de la gamme Master of G, créée en hommage à la Royal Air Force. Et comme souvent avec les G-Shock en série limitée, il faut être rapide et déterminé. J’ai eu la chance (et peut-être le bon réflexe) de me connecter le jour J, sans doute parmi les premiers, pour pouvoir sécuriser cette montre convoitée. Comme quoi, même pour une G-Shock, un brin de “Per ardua ad astra” – la devise latine de la RAF – ne fait pas de mal : “Vers les étoiles à travers l’adversité.” Côté design et matériaux, cette G-Shock RAF est une belle surprise : simili-carbone texturé, plastiques et caoutchoucs de belle facture, robustesse toujours au rendez-vous. Le tout est rehaussé par un jeu de couleurs sobre mais original, bien pensé, avec des petits détails qui font toute la différence. On sent qu’il y a eu un vrai travail de design derrière cette série. Seul léger bémol : la lisibilité des aiguilles n’est pas parfaite dans toutes les conditions. Mais franchement, l’ensemble est tellement réussi qu’on lui pardonne volontiers ce petit défaut. Au final, cette Gravity Master RAF n’est pas seulement une montre de plus dans ma collection. C’est une vraie pépite, originale, symbolique, et surtout obtenue de haute lutte. Et c’est aussi ça, la magie G-Shock : l’adrénaline d’un drop, la satisfaction de la traque réussie, et le plaisir de porter une montre qui raconte une histoire.

20 days ago

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5

106

Un Chrono .. Badass !

4.4

J’ai eu entre les mains un grand nombre de Breitling au fil des années, mais rares sont celles à quartz qui ont su trouver une place dans ma collection. En réalité, une seule y est parvenue : la Chronospace Military, équipée du calibre SuperQuartz – comme Breitling aime à le qualifier. Ce modèle en PVD noir dégage un vrai caractère, presque intimidant. Je ne pensais pas un jour craquer pour un chrono quartz de la marque, mais c’est un concours de circonstances – une liquidation chez un horloger – qui a fini par me convaincre. Et aujourd’hui, je ne regrette absolument pas cet achat. Cette montre s’est rapidement imposée comme une pièce à part entière dans ma collection. Avec son boîtier imposant de 46 mm, elle revendique fièrement son ADN militaire. Mais grâce à son mouvement à quartz, elle reste étonnamment fine et confortable au poignet. Son look full black, accentué par le traitement PVD, renforce cette esthétique “military” assumée – un design qui n’est pas qu’un clin d’œil, puisque son nom l’annonce clairement : Chronospace Military. L’affichage est d’une lisibilité exemplaire, avec un contraste fort entre les aiguilles et les grands chiffres arabes. La luminescence est tout simplement bluffante, et le traitement de l’écran LCD est d’une netteté impressionnante. En termes de fonctionnalité comme de lisibilité, c’est un sans-faute. Autre atout : sa grande polyvalence. Je l’ai portée avec au moins six bracelets différents – NATO, cuir, caoutchouc Breitling – et à chaque fois, elle offre une toute nouvelle personnalité. C’est une montre caméléon, aussi à l’aise sur le terrain qu’en voyage, et je l’ai d’ailleurs emmenée un peu partout autour du globe. Alors oui, son prix peut sembler élevé pour un modèle à quartz, mais on parle ici de Breitling : finitions impeccables, robustesse à toute épreuve, et design soigné. Certes, je ne la recommanderais pas forcément à plein tarif neuf, mais en seconde main ou lors d’une belle opportunité, elle a toute sa place dans une collection. Surtout si vous aimez les montres au look un peu badass – et ce n’est pas moi qui le dis, mais un vendeur Breitling à New York, qui trouvait que l’adjectif lui allait comme un gant. En somme, cette Chronospace Military, c’est un excellent compromis : bien plus abordable qu’une Emergency, mais avec un charme et une personnalité tout aussi marqués. Une vraie montre de terrain, attachante et fiable. Badass quoi.

20 days ago

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10

197

redécouverte d’une légende japonaise

4.7

Il s’agit de ma toute première Citizen. Jusqu’à récemment, j’avoue que cette marque me semblait un peu obscure. Dans mon esprit, c’était un nom lointain, sans grande résonance. Et puis, au détour d’un article j’ai découvert ce que je ne soupçonnais pas : Citizen est une maison japonaise d’une richesse incroyable, avec un passé fascinant et une gamme de montres quasi infinie. C’est à ce moment-là que j’ai redécouvert un modèle qui avait croisé ma mémoire sans jamais vraiment y rester : l’Aqualand JP2000. Une montre culte, portée par Jean Reno dans Le Grand Bleu. Un vrai coup de foudre. Le design de cette montre m’a immédiatement captivé. On est face à une véritable tool watch : robuste, fonctionnelle, sans superflu. Son bracelet de plongée, le toucher presque doux du boîtier, et surtout cet ordinateur de bord intégré avec un profondimètre situé sur le côté gauche… Tout cela confère à la montre un style singulier, technique, et viril. Ce n’est pas qu’un bel objet : c’est une montre pensée pour la plongée, pour l’aventure, pour les conditions réelles. Et elle a de la bouteille — sans jeu de mot. Produite sans interruption depuis les années 80, l’Aqualand JP2000 est une véritable légende vivante. Elle a rapidement trouvé sa place dans ma collection. Ce n’est pas une montre comme les autres. Elle dégage une vraie personnalité, tout en restant parfaitement portable au quotidien. Certes, elle est un peu épaisse, mais son diamètre est contenu, et les proportions globales sont très équilibrées. Elle réussit ce rare équilibre entre présence au poignet et confort. C’est une montre qui s’assume, mais qui ne cherche pas à en faire trop. Citizen a toujours été réputée pour la qualité de ses montres, et cette Aqualand ne fait pas exception. Le luminiva est tout simplement exceptionnel, Les aiguilles sont également bien pensées : une aiguille cathédrale pour les heures, une aiguille orange pour les minutes, et une trotteuse en forme de flèche de fusil de chasse sous-marine. Oui, rien que ça. Et c’est superbe. Même le fond du boîtier mérite qu’on s’y attarde : les inscriptions techniques, le métal brossé, la boucle ardillon… Tout respire la qualité et le souci du détail Cette Aqualand a été une vraie révélation. Elle m’a non seulement donné un nouveau regard sur Citizen, mais aussi une furieuse envie de découvrir d’autres modèles de la gamme Promaster. Elle combine héritage, technicité, et originalité. Je la porte aussi bien avec son bracelet original qu’avec un nato ou un cuir vieilli. C’est une montre attachante, efficace, et résolument différente. Une pépite, tout simplement.

24 days ago

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5

191

Ma petite Kermit !

5.0

Quand acquérir une Rolex relevait du simple plaisir… Je parle d’une époque qui semble aujourd’hui appartenir à un autre monde. Une époque où l’on pouvait pousser la porte d’un AD Rolex, jeter un œil à la vitrine, repérer un modèle iconique et repartir avec… Sans liste d’attente, sans spéculation, sans coup de fil discret d’un vendeur à son meilleur client. Juste un achat pour soi, pour le plaisir, pour le frisson de porter un bel objet. Et tout cela, à un prix encore raisonnable. C’était il y a 17 ans. Une éternité à l’échelle de l’horlogerie contemporaine. À cette époque, je suis tombé sous le charme d’une Submariner un peu différente : lunette verte, cadran noir, allure plus originale que la version classique pour une poignée d’euros supplémentaires. La Kermit. Une montre désormais mythique, qui marquait les 50 ans de la Sub et qui a su traverser les années avec un charme intact. Aujourd’hui, j’ai la chance de posséder également sa descendante : la « Cermit », ou « Starbucks » comme l’appellent certains. Et en les ayant toutes les deux au poignet, le comparatif s’impose… Honnêtement, l’idéal aurait été simple : conserver les proportions iconiques de la première Submariner à lunette verte, et lui offrir simplement une lunette en céramique. Le meilleur des deux mondes. Car autant être clair dès maintenant : je n’ai jamais été fan des lunettes en aluminium. Tout le monde semble les regretter aujourd’hui, mais soyons objectifs — les couleurs ternissent, virent, finissent par devenir franchement moches. Le fameux “charme du vintage”, très peu pour moi. Je préfère, et de loin, les teintes franches et profondes offertes par la céramique. Je le dis sans détour : je n’adhère pas à cette nostalgie parfois excessive autour du vintage chez Rolex. Et ce que je comprends encore moins, c’est cette course à l’agrandissement des boîtiers. Pourquoi avoir voulu pousser la Submariner à 41 mm ? Le design d’origine en 40 mm était tout simplement parfait. Ni trop imposant, ni trop discret. Un équilibre absolu. Et quand on atteint la perfection, pourquoi vouloir tout chambouler ? À mes yeux, la Sub idéale serait donc une lunette verte en céramique, sur un boîtier 40 mm avec les proportions originales du bracelet — un peu plus effilé, surtout au niveau des maillons centraux. Voilà ma lettre au Père Noël pour la prochaine génération de Submariner vertes. Et au fond, qu’ajouter ? Peut-être simplement ceci : oui, je regrette profondément cette époque où l’on pouvait entrer chez un distributeur Rolex et ressortir avec la montre de ses rêves au poignet. Une époque où l’on achetait une montre pour le plaisir, pas pour spéculer. C’était une autre manière d’aimer l’horlogerie. En attendant, cette Kermit reste pour moi une montre de cœur. Une montre pleine d’histoires, de souvenirs, d’authenticité. Et malgré mes critiques sur l’aluminium, malgré l’évolution des standards, je lui mets un 5 sur 5. Parce qu’elle le mérite

24 days ago

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