J'ai acheté cette montre aux enchères pour plusieurs raisons ! J'aime beaucoup Omega qui a fait preuve d'une immense - voir folle - créativité avec une diversité phénoménal de modèle. Je suis amateur des styles 70s et cette Omega Genève n'échappe pas à cela. Enfin le cadran est à la fois simple et fantastique avec ses sillons comme sur un 33 tours ! Nous y voilà, pour quelqu'un de ma génération, les 33 tours raisonnent comme la belle époque du lycée avec tous les groupes qui ont accompagnés ma jeunesse. La collection Genève - comme d'ailleurs la collection Dynamic - était positionnée par la marque comme l'entrée de gamme Omega avec des calibres de moindre noblesse. N'étant pas horloger, je ne peux voir dire que cela signifie ou non ;-) Particularité intéressante de ce calibre, le changement de date rapide en tirant puis poussant la couronne ! Original et fonctionnel même s’il ne faudrait probablement pas en abuser. Dernier point et non des moindre, le boitier se désolidarise complètement du bracelet avec un système ingénieux - similaire une nouvelle fois avec la collection Dynamic - et qui permettait de changer de bracelet (acier ou cuir) pour changer l'esthétique de sa montre... Une idée originale ? Peut-être, mais qui a été reprise maintes fois depuis lors...

C’est la dernière arrivée dans ma collection. Style 70s comme souvent avec des angles encore bien saillants sur le boitier. Elle est équipée du calibre Omega 1481 très utilisé par la marque durant les années 70. Cela faisait un bout de temps que je l’avais repéré pour ses proportions discrètes toutes en finesse, et sa notoriété confidentielle par rapport aux Speedmaster et autres Seamaster ou Constellation. Bien qu’elle ne soit pas extra-plate à proprement dit, elle donne le sentiment visuel de l’être. Son diamètre de 34mm semble plus important étant donné la configuration du bracelet intégré à la boite. C’est une montre simple avec une ligne acérée très caractéristique, qui va parfaitement dans ma collection. Prix d’achat aux enchères (frais compris) 450 € Belle prise ;-)

Un achat coup de tête au départ qui est en fait devenu un coup de cœur. Les montres neuves en boutique on aime mais j’avais bien envie de m’offrir une vintage pour le charme, l’histoire et pour un prix plus doux. Mon œil s’est alors vite porté sur une Omega pour avoir une montre d’une grande maison à un prix qui n’a rien à voir avec ceux d’aujourd’hui. Alors je me suis mis à chercher et chercher… Au final c’est par hasard sur un groupe Facebook que je suis tombé sur cette petite Genève dans un très bonne état et qui ne ressemble pas à toute les autres Genève avec ce cadran bleu.

Ce que j'aime chez Omega, c'est la diversité et l'improbable ! Quel est le rapport entre cette Genève, une PLOPROF ou une Seamaster Diver 300M ? Aucun ! Et oui c'est la beauté des Omega des années 70 qui partent dans tous les sens. Cette montre est le référence 198.0030 (198 signifiant notamment que c'est un calibre électronique en tout cas pas mécanique). Omega a fait de tout en termes de mouvement et dans le cas présent il s'agit du calibre 1310 fonctionnant avec une pile. L'originalité est la présence sur le flanc de deux petits boutons permettant de faire avancer la date ou le jour de la semaine et de déplacer l'aiguille des minutes. C'est intéressant de comprendre et d'utiliser ces boutons pour la dimension historique mais en termes d'usage c'est assez fragile et pas très pratique ! Son look est top même si le boitier est un peu abimé. Je lui ai mis un bracelet rouge pétard pour lui redonner du peps et répondre au logo Omega présenté de façon originale à midi. La boucle n'est pas d'origine non plus mais aftermarket fabriquée probablement en Asie. Moralité, quel est l'intérêt d'avoir une telle montre ? J'aime Omega dans sa diversité et je suis attaché à comprendre et identifier tous les types de calibres électroniques qui ont accompagné l'industrie horlogère lors de sa transition du des mouvements exclusivement mécanique vers la précision électronique. Les 15 ans de 1965 à 1980 ont été fantastique de créativité pour essayer de résister à l'ogre quartz qui aura presque tout balayé. Mais ne nous trompons pas l'horlogerie que nous aimons aujourd'hui est aussi le fruit de la destruction créatrice du Quartz 👍

C'est une montre que j'ai achetée un peu par hasard. Un vendeur que je connaissais la mettais en vente et je me suis laissé tenté car j'ai toujours bien aimé visuellement les montres en or sans passer le pas. C'est une montre vraiment attachante et que je trouve superbe. C'est vraiment la montre élégante par excellence. Moins cotée que les seamaster je trouve que la gamme Genève a tout autant d'intérêt avec une variété de cadran, d'index de couleurs à l'infini....il y en a pour tous les goûts. Le modèle présenté est plaqué or, ça se reconnais car le fond de boîte est en acier.

Cette petite Omega vintage des années 70 m'a fait de l'oeil durant des enchères et vient de me rejoindre. Elle se défend la mamie ! 36 par 41, cadran en forme "TV", fond champagne et son bon vieux calibre 1012 qui déconne un peu quand même. Le bracelet qui se fixe juste au milieu du boitier est très réduit au niveau du clip qui avait déja le réglage fin. Au poignet elle a un petit style bracelet intégré, est très légère et son cadran champagne ressort bien. On ira ni plonger ni faire de sport avec cette mamie qui préfère les dîners en ville ou les balades lentes. Bon elle est des 70s, elle est plus "entre deux âges"...

Mon premier héritage, ma Omega Genève automatique avec son cadran argenté au multiple reflet. On est en 2014 et j'ai la possibilité d'acheter une Rolex Daytona en boutique, je n'ai pas les sous mais je me mets à parler montre et à m'y intéresser vraiment! Mon père me descend cette Omega Genève qu'il n'a jamais portée ou presque. - "Tiens, toi tu la porteras, moi, je ne la porte pas et je l'avais gardé pour toi". Je la mets à mon poignet, me dis qu'elle est peut-être petite, bizarrement mon collègue la remarque à mon poignet le lendemain matin, sympa la mémère qu'il me dit. J'aime bien le fait de porté un classique et autre chose que ce qui est à la mode, cette montre ne me quittera pas pendant 4 ans. Elle est polyvalente, costume, mariage, pour un verre, passe-partout, bohème, en ville ou en vacances à Mykonos, elle va avec tout et c'est ce qui me plait chez elle. Bon ok, elle ne va pas dans l'eau mais comme je nage comme une brèle... C'est le commencement de tout et malgré une offre financière qui ne se refuse pas, je n'ai pas su m'en séparée. Le vintage, c'est la valeur que l'on veut bien donner au objet.

Cette série fabriquée entre 1967 et 1974 n'a rien à envier aux nouvelles montres types Tissot PRX... Même après 50 ans, cette montre garde la forme et est toujours en service, il s'agit d'une montre de grande qualité. Après lui avoir fait une petite révision et un polissage, elle est repartie pour au moins 50 ans. Outre le bracelet qui a pris un peu de jeu au fil du temps, elle reste parfaitement portable. Ce cadran bleu qui l'accompagne est magnifique, il est un bleu marine au soleil et se fonce avec les reflets. De plus qu'avec sa petite taille entre un 34 et un 35 mm elle est passé partout et discrète.

Cette petite Omega fait partie de ma collection depuis un petit moment maintenant, et n’est pas vraiment toute jeune. Boite dite Jumbo pour l’époque avec son 38mm un verre bombé en plexi Cette pépite possède 2 particularités, la première étant son calibre à Diapason, qui donne son surnom de calibre bourdon, car il ronronne comme une abeille. La seconde particularité et celle là est lié à ma montre, c’est son cadran dit spider, nous n’allons pas se mentir c’est un défaut de cadran qui s’écaille ou plutôt craque avec le temps, cela donne un effet de toile d’araignée qui selon les angles de la lumière se voit, ou pas. On aime ou aime pas, mais pensée bien que si c’est la mienne et bien perso j’adore