21 avis sur Panerai

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chronique d’un coup de foudre horloger !

5.0

Panerai et moi, c’est une véritable histoire d’amour. Une passion née au début des années 2000, lorsque je découvre cette montre au poignet de Sylvester Stallone. À mes yeux, c’est une révélation : unique, robuste, monumentale, cinématographique… Une pièce à part dans l’univers horloger, qui s’impose immédiatement dans mon esprit. Dès cet instant, je n’ai plus qu’un objectif : m’en procurer une. C’est ainsi qu’au milieu des années 2000, je fais l’acquisition de ma première Panerai : la PAM 177. Une Luminor Marina en titane, avec petite seconde décentrée et fond saphir dévoilant un mouvement Unitas. Un modèle sobre, technique et élégant, qui me comble… jusqu’au jour où je dois m’en séparer. Un crève-cœur que je regretterai pendant de longues années. Après une quête patiente et passionnée, je tombe enfin sur celle qui va raviver la flamme : une PAM 116, édition 2002. Une véritable pépite, produite en quantité très limitée — 1200 pièces en 2002, seulement 300 en 2003. Son cadran brun, couleur « cap de cigare », est d’une beauté à couper le souffle. Il offre un contraste saisissant avec les aiguilles luminescentes recouvertes de Luminova, jouant avec la lumière et les reflets du soleil selon l’angle d’observation. Le cadran est d’une pureté rare : deux aiguilles, quatre chiffres, deux mentions, et la discrète inscription Swiss en bas. Rien de superflu. Le titane, que j’affectionne tout particulièrement, sublime l’ensemble. Et une fois encore, le fond saphir dévoile un mouvement Unitas finement décoré, orné de petits « Panerai » gravés horizontalement. Mais ce qui distingue encore plus cette pièce, c’est sa boucle : un design inédit, que je n’ai vu que sur ce modèle. Elle s’éloigne des boucles classiques de la gamme Luminor, tout en s’accordant parfaitement avec le bracelet et la personnalité de la montre. Je suis panéristi, et je l’assume pleinement. Depuis que j’ai retrouvé cette pièce tant convoitée, je la porte presque tous les jours. Je l’ai acquise en seconde main, à un prix abordable, chez un revendeur marseillais de confiance. Et cette fois, c’est sûr : je ne m’en séparerai plus jamais. Prochaine étape ? Un pèlerinage horloger à Paris, direction la Casa Panerai sur les Champs-Élysées… avec ma PAM 116 au poignet, évidemment.

il y a 6 jours

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