Affiches de montres iconiques. Fabriqué en Suisse et garantie à vie

La Macro Loupe indispensable pour tous les amoureux des montres

La référence des bracelets cuirs sur mesure

Quel look cette CADOLA ! Des index très originaux, des aiguilles broad arrow, une trotteuse avec une pointe rouge, une lunette très fine, une jolie forme de boitier avec des cornes biseautées, et une magnifique patine.
CADOLA est une marque dont j'avais déjà entendu parler quelquefois, mais je ne m'étais pas trop attardé dessus.
Pourtant, quand j'ai vu celle-ci à vendre, je n'ai pas pu résister. Il me la fallait dans ma collection. Cela m'a aussi donné l'occasion d'approfondir mes connaissances sur cette marque. Les plongeuses CADOLA des années 60 sont très rares, surtout en 20 ATM, car c'est une marque qui faisait plutôt des montres classiques et des chronos.
Aujourd'hui, la marque existe toujours, et s'est spécialisée dans les montres sportives au look vintage, avec même un partenariat avec Cosworth.
Pour en revenir à la mienne, elle a un boitier de 38 mm et un calibre ETA 2472 très précis.
Je la porte très peu, mais toujours avec un plaisir immense.

What a look, this CADOLA! Very original indexes, broad arrow hands, a second hand with a red tip, a very thin bezel, a lovely case shape with beveled lugs, and a magnificent patina.
CADOLA is a brand I'd heard of a few times, but I hadn't really looked into it.
However, when I saw this one for sale, I couldn't resist. I had to have it in my collection. It also gave me the opportunity to deepen my knowledge of this brand. CADOLA divers from the 1960s are very rare, especially in 20 ATM, as it's a brand that mainly made classic watches and chronographs.
Today, the brand still exists and specializes in vintage-look sports watches, even having a partnership with Cosworth.
Coming back to mine, it has a 38 mm case and a very precise ETA 2472 caliber. I wear it very rarely, but always with immense pleasure.

Une plongeuse rare

A rare diver

J'étais à la recherche d'un calibre 11 (Heuer-Breitling-Hamilton-Buren) car cela fait des années que je veux en avoir un dans ma collection. Mais je n'arrivais pas à me décider, car dans mes désirs les plus fous, je rêvais à une Breitling Chrono-matic 2130. Sauf que je sais que c'est presque introuvable ! J'en ai rarement vu à la vente (sur le net ou aux enchères), même pas une par an. J'ai même lu un article sur Breitling où il était écrit que la 2130 était la plus rare des Breitling des années 70, voir la plus rare de toutes les Breitling. En plus, je voulais la version cadran noir, donc avec les 2 compteurs "soleillés or", mais en bon état. Sauf que sur le cadran noir, les compteurs "or" sont quasiment tous tachés (de vilaines taches brunes se forment). Et pour finir, dans mes rêves, je lui achetais un bracelet en cuir noir mat . Autant dire que j'avais plus de chance de gagner au loto que de trouver la perle rare. Et pourtant, après des années de patience, je tombe sur cette 2130 à vendre en Allemagne. Je me pince : non, ce n'est pas un rêve. Je contacte immédiatement le vendeur (ne pas l'acheter était impensable pour moi), mais je l'ai quand même négocié de 300 € (ça ne coûte rien d'essayer) ! Donc il s'agit d'une Breitling Chrono-matic référence 2130 de 1978. La 2130, contrairement aux 2110 et 2112 plus courantes, à les cornes en forme de "lyre", un peu comme sur la Speedmaster. Cela n'a l'air de rien, mais ça change toute la physionomie de la montre et lui donne ce charme indéfinissable. La mienne est équipé du calibre 11 (19800 alternances), mais la majeure partie des 2130 sont équipées du calibre 12 (21600 alternances et plus fiable). Il existe également une 2130 calibre 15, mais avec une typo de cadran différent. 42 heures de réserve de marche, boitier de 38 mm, couronne à gauche, compteurs des heures et des minutes, pas de petite seconde. Il s'agit du premier chronographe à remontage automatique.....(je chauffe les fans de Zenith).....qui soit équipé d'un micro-rotor. Le mouvement est très fiable, très silencieux, et le remontage est très doux. L'état est exceptionnel, proche du neuf, car l'ancien propriétaire l'a très peu porté (1re main), et moi également. C'est une montre très attachante, mais malheureusement rarissime. Elle existe également en cadran blanc avec compteurs noirs et index appliqués, mais elle est tout aussi rare. Il existe également des variantes de couleurs (blanc ou orange) sur chaque aiguille, et la date est soit noire, soit blanche. Ce qui fait beaucoup de combinaisons possibles. Si vous avez la chance d'en trouver une, ne vous étonnez pas s'il y a une petite différence avec la mienne. Personnellement, je n'ai toujours pas trouvé la même configuration que la mienne sur toutes les photos postées par des possesseurs de 2130 dans le monde. Pour conclure : j'ai trouvé mon graal (il fait toujours croire au Père Noël), et  vous vous doutez bien que c'est ma montre préférée de toute ma collection. Je ne vendrai jamais cette montre (encore une 2130 de moins sur le marché !).

I was looking for a caliber 11 (Heuer-Breitling-Hamilton-Buren) because I have wanted to have one in my collection for years. But I could not decide, because in my wildest desires, I dreamed of a Breitling Chrono-matic 2130. Except that I know that it is almost impossible to find! I have rarely seen one for sale (on the net or at auction), not even one per year. I even read an article on Breitling where it was written that the 2130 was the rarest Breitling of the 70s, if not the rarest of all Breitlings. In addition, I wanted the black dial version, so with the 2 "gold sunray" counters, but in good condition. Except that on the black dial, the "gold" counters are almost all stained (ugly brown spots form). And finally, in my dreams, I bought him a matte black leather strap. Needless to say, I had a better chance of winning the lottery than finding the rare gem. And yet, after years of patience, I came across this 2130 for sale in Germany. I pinch myself: no, it's not a dream. I immediately contact the seller (not buying it was unthinkable for me), but I still negotiated it down by €300 (it doesn't hurt to try)! So it's a Breitling Chrono-matic reference 2130 from 1978. The 2130, unlike the more common 2110 and 2112, has "lyre" shaped lugs, a bit like on the Speedmaster. It may not seem like much, but it changes the entire appearance of the watch and gives it that indefinable charm. Mine is equipped with caliber 11 (19800 vibrations), but most of the 2130s are equipped with caliber 12 (21600 vibrations and more reliable). There is also a 2130 caliber 15, but with a different dial type. 42 hours of power reserve, 38 mm case, crown on the left, hour and minute counters, no small seconds. This is the first self-winding chronograph.....(I'm getting Zenith fans excited).....that is equipped with a micro-rotor. The movement is very reliable, very quiet, and the winding is very smooth. The condition is exceptional, close to new, because the previous owner wore it very little (1st hand), and so did I. It is a very endearing watch, but unfortunately very rare. It also exists with a white dial with black counters and applied indexes, but it is just as rare. There are also color variations (white or orange) on each hand, and the date is either black or white. That makes for a lot of possible combinations. If you are lucky enough to find one, don't be surprised if it is a little different from mine. Personally, I have yet to find the same configuration as mine in all the photos posted by 2130 owners around the world. To conclude: I have found my holy grail (it always makes you believe in Santa Claus), and you can imagine that it is my favorite watch in my entire collection. I will never sell this watch (yet another 2130 on the market!).

Il faut toujours croire au Père Noël

You should always believe in Santa Claus

Encore une petite montre de ma collection qui mérite le détour. CODHOR a été créé en 1964. C'était une coopération d'horlogers (d'où le nom) qui fabriquaient des produits accessibles à tous, mais sans négliger pour autant la qualité. La marque existe toujours d'ailleurs.
C'est ce que j'aime sur ces anciennes montres : pas de prétention, mais de la robustesse, de l'efficacité, une bonne finition et un joli design. Rien d'extraordinaire, mais pas de prise de tête. Lorsque vous décidez de la mettre à votre poignet, vous la remontez et elle ne vous laissera jamais tomber. Pas de révision à prévoir (sauf si vous êtes à la seconde près pour tous vos rendez-vous). Ce sont ces "petites" montres qui m'ont fait aimer le vintage.

Another small watch from my collection that's worth a look. CODHOR was founded in 1964. It was a cooperative of watchmakers (hence the name) who made products accessible to all, but without neglecting quality. The brand still exists, by the way.
That's what I love about these vintage watches: no pretensions, but robustness, efficiency, good workmanship, and a beautiful design. Nothing extraordinary, but no hassle. When you decide to put it on your wrist, you wind it up, and it will never let you down. No servicing required (unless you're on the lookout for every second for all your appointments). It's these "small" watches that made me fall in love with vintage.

Sans prise de tête

No hassle

Cette jolie DREFFA Genève brille de mille feux. La bande extérieure du cadran est traitée façon miroir, les index sont creusés dans le cadran et polis, et les 2 aiguilles également polies finissent par faire un ensemble qui scintille à la moindre lumière. La montre n'est pas vraiment discrète au poignet, mais quel look quand même ! Un beau mouvement et un boitier sympa finissent de parfaire cette DREFFA qui fait honneur à son nom.

This beautiful DREFFA Genève shines brightly. The outer band of the dial is mirror-treated, the indexes are hollowed out of the dial and polished, and the two equally polished hands end up creating a whole that sparkles in the slightest light. The watch isn't exactly discreet on the wrist, but what a look nonetheless! A beautiful movement and a nice case complete this DREFFA that lives up to its name.

Toujours de qualité

Always quality

Une ETERNA très simple, au design très pur, sans aucune fioriture. Cela forme une montre qui date de la fin des années 60, mais qui traverse le temps sans être vraiment démodée. De plus, son mouvement est impressionnant de précision. Boitier de 36 mm qui ne trahit pas son âge non plus. Très belle montre qui semble éternelle et qui porte bien son nom.

A very simple ETERNA, with a very pure design, without any frills. This creates a watch that dates back to the late 1960s, but which stands the test of time without really going out of fashion. In addition, its movement is impressively precise. The 36 mm case also doesn't betray its age. A very beautiful watch that seems eternal and lives up to its name.

Classique mais désirable

Classic but desirable

Juillet 1981, je viens d'avoir 14 ans. Premier job d'été et également mon premier salaire. J'avais déjà fait des repérages quelques semaines auparavant dans les horlogeries de ma ville, et j'avais déjà choisi la montre que je me paierais à la fin du mois. Et dès que j'ai eu ma paye, j'ai foncé m'acheter cette Emile Pequignet Equus.  
Pourquoi ce choix ? A 14 ans, cette montre faisait plutôt très classique, presque "montre de vieux". Mais je n'avais que faire du regard des autres. J'achetais une montre pour moi et non pour les autres. 
A l'époque, j'étais déjà passionné et il y avait une montre que j'adorais beaucoup : la Hermes Arceau. 
Je n'avais évidemment pas le budget pour en acheter une mais elle me faisait rêver. Et quelque part, cette Emile Pequignet avait un petit air d'Hermes (enfin c'est ce que j'essayais de me faire croire). Et comme l'horloger qui me l'a vendu était un AD de la marque, il m'a expliqué l'histoire de Pequignet et la qualité du produit, ce qui a fini par me persuader de la prendre. Le prix était du reste non négligeable pour l'époque. 
Je ne l'ai gardé au poignet qu'un an, mais je la mettais tous les jours, même à l'école. J'adorais cette montre et ce côté très classe du cadran, la finesse de son boitier et sa précision. Puis je suis passé à autre chose. Et 7 ans plus tard, je me suis acheté pour mes 21 ans une Hermes Arceau. La boucle était bouclée.
Aujourd'hui, quand je regarde la Pequignet, elle me rappelle ma jeunesse. Elle est telle qu'elle était à l'époque, avec des signes très minimes d'usures et son bracelet cuir d'origine signé Péquignet. Toujours aussi belle !

July 1981, I just turned 14. First summer job and also my first paycheck. I had already scouted watch shops in my town a few weeks earlier, and I had already chosen the watch I would buy at the end of the month. And as soon as I got my paycheck, I rushed out and bought this Emile Pequignet Equus.
Why this choice? At 14, this watch looked rather classic, almost like an "old man's watch." But I didn't care about what others thought. I was buying a watch for myself, not for others.
At the time, I was already passionate about watches, and there was one watch I really loved: the Hermes Arceau.
I obviously didn't have the budget to buy one, but it made me dream. And somehow, this Emile Pequignet had a hint of Hermes (at least that's what I tried to make myself believe). And since the watchmaker who sold it to me was an AD of the brand, he explained the history of Pequignet and the quality of the product, which finally persuaded me to buy it. The price was not insignificant for the time.
I only kept it on my wrist for a year, but I wore it every day, even to school. I loved this watch and the very classy look of the dial, the finesse of its case, and its precision. Then I moved on. And seven years later, I bought myself a Hermes Arceau for my 21st birthday. The circle was complete.
Today, when I look at the Pequignet, it reminds me of my youth. It is just as it was then, with very minimal signs of wear and its original leather strap signed Péquignet. Still as beautiful as ever!

Retour sur ma jeunesse

Looking back on my youth

Tylex est une marque horlog&egrave;re historique dont la date de cr&eacute;ation est incertaine dans les ann&eacute;es 60 ; des montres sign&eacute;es Tylex apparaissent sur le march&eacute; du milieu du XXe si&egrave;cle (ann&eacute;es 1950&ndash;1970), avec des exemplaires marqu&eacute;s &laquo; Swiss Made &raquo; et d&rsquo;autres &laquo; Made in France &raquo;, ce qui laisse penser &agrave; un fonctionnement typique des maisons de n&eacute;goce de l&rsquo;&eacute;poque (sourcing de composants europ&eacute;ens, assemblages vari&eacute;s) et &agrave; une distribution surtout via des d&eacute;taillants.
<h3>Indices d&rsquo;activit&eacute; (ann&eacute;es 1950&ndash;1970) et ancrage g&eacute;ographique incertain</h3>
Les pi&egrave;ces aujourd&rsquo;hui document&eacute;es montrent un spectre allant du simple &laquo; ancre 17 rubis &raquo; &agrave; remontage manuel jusqu&rsquo;au chronographe, en passant par des montres &agrave; date par aiguille et des GMT/worldtime, ce qui situe l&rsquo;activit&eacute; dans la seconde moiti&eacute; du XXe si&egrave;cle, quand de nombreuses marques &laquo; de n&eacute;goce &raquo; proposaient des catalogues composites &mdash; l&rsquo;existence d&rsquo;exemplaires Tylex estampill&eacute;s &laquo; Swiss Made &raquo; comme de pi&egrave;ces &laquo; Made in France &raquo; sugg&egrave;re une production &eacute;clat&eacute;e entre fournisseurs helv&eacute;tiques et ateliers fran&ccedil;ais.
On croise des Tylex de petit diam&egrave;tre (&asymp;32&ndash;34&nbsp;mm hors couronne) typiques des ann&eacute;es 1950&ndash;1960, parfois en plaqu&eacute; or 10 microns avec fond acier, parfois tout acier, souvent prot&eacute;g&eacute;es par une glace acrylique bomb&eacute;e ; la patine des cadrans (deux tons, &laquo; tropicalisation &raquo;) et les polices de chiffres correspondent bien aux codes de cette &eacute;poque, et le vocabulaire visuel concorde avec des mouvements courants (FHF, AS, FE, ETA) et des embo&icirc;tages multiples.
Faute d&rsquo;archives publiques et de communication officielle, le lieu exact de fondation, le nom d&rsquo;un fondateur ou encore l&rsquo;organisation capitalistique demeurent &laquo; non communiqu&eacute; &raquo; ; on peut seulement s&rsquo;appuyer sur les pi&egrave;ces survivantes et sur leurs marquages &mdash; c&rsquo;est une situation fr&eacute;quente pour les marques de l&rsquo;&egrave;re &laquo; pr&eacute;-quartz &raquo; qui op&eacute;raient principalement via des d&eacute;taillants et catalogues r&eacute;gionaux.
<h3>Langage visuel d&rsquo;&eacute;poque : deux tons, &laquo; ancre 17 rubis &raquo; et lisibilit&eacute; sobre</h3>
Les cadrans observ&eacute;s alternent des configurations deux tons (anneau p&eacute;riph&eacute;rique contrast&eacute; et centre clair) et des finitions simples &agrave; index appliqu&eacute;s, avec des aiguilles b&acirc;tons ou seringues ; la mention &laquo; Ancre 17 Rubis &raquo; c&ocirc;toie parfois &laquo; Antichoc &raquo; et &laquo; Antimagnetic &raquo;, groupe d&rsquo;inscriptions standard dans les d&eacute;cennies 1950&ndash;1960 &mdash; ces &eacute;l&eacute;ments signalent des montres de bonne s&eacute;rie destin&eacute;es au quotidien plut&ocirc;t qu&rsquo;&agrave; la haute complication.
Les bo&icirc;tiers, souvent ronds et amincis, privil&eacute;gient une pr&eacute;sence discr&egrave;te, parfois rehauss&eacute;e d&rsquo;un plaquage or rose/jaune, parfois laiss&eacute;e en acier ; la lisibilit&eacute; est nette, avec minuterie p&eacute;riph&eacute;rique, et sur certaines r&eacute;f&eacute;rences, un rehaut noir ou un liser&eacute; permet d&rsquo;encadrer la lecture &mdash; on reste dans une esth&eacute;tique utilitaire &eacute;l&eacute;gante, fid&egrave;le &agrave; la montre &laquo; de ville &raquo; des Trente Glorieuses.
Sur des d&eacute;clinaisons plus &laquo; voyage &raquo;, on rencontre des lunettes tournantes worldtime et des teintes de cadran contrast&eacute;es (noir/vert ou noir/jaune) coupl&eacute;es &agrave; un guichet date ; l&rsquo;ensemble conf&egrave;re une allure sportive et pratique, bien dans l&rsquo;air du temps des sixties &mdash; ce registre attire aujourd&rsquo;hui les collectionneurs pour son charme &laquo; tool watch &raquo; sans exc&egrave;s de taille.
<h3>Mod&egrave;les document&eacute;s : chronographes, GMT/worldtime et date par aiguille</h3>
Les pi&egrave;ces visibles sur le march&eacute; secondaire dessinent trois familles d&rsquo;usage : le chronographe manuel, la montre de voyage type GMT/worldtime et la montre &laquo; civile &raquo; avec date par aiguille ou simple trois aiguilles &laquo; ancre 17 rubis &raquo; ; le choix de mouvements connus de l&rsquo;&eacute;poque (Valjoux pour le chrono, bases suisses courantes pour le reste) cadre ces Tylex dans une offre robuste et abordable &mdash; on parle d&rsquo;une horlogerie de bonne facture plus que d&rsquo;une manufacture &agrave; identit&eacute; m&eacute;canique exclusive.
<ul>
<li>Tylex Chronographe Valjoux 7733 &mdash; bo&icirc;tier acier/plaqu&eacute; or (fond acier), &eacute;chelle t&eacute;l&eacute;m&eacute;trique ou tachym&eacute;trique, 17 rubis ; configuration typique ann&eacute;es 1950&ndash;1970.</li>
<li>Tylex GMT Worldtime &mdash; lunette villes rotative, guichet date &agrave; 3&nbsp;h, cadrans contrast&eacute;s (noir/vert ou noir/jaune), ambiance &laquo; rallye/GT &raquo; tr&egrave;s sixties.</li>
<li>Tylex Pointer Date &mdash; date par aiguille p&eacute;riph&eacute;rique, cadran clair, aiguilles fines, lecture &laquo; calendrier &raquo; tr&egrave;s lisible.</li>
<li>Tylex Ancre 17 Rubis &mdash; trois aiguilles manuelles, formats 32&ndash;34&nbsp;mm, versions acier ou plaqu&eacute;, inscriptions &laquo; Antichoc/Antimagnetic &raquo; fr&eacute;quentes.</li>
</ul>
Ces appellations d&eacute;crivent des typologies plut&ocirc;t que des r&eacute;f&eacute;rences internes connues (celles-ci ne sont pas publi&eacute;es) ; elles permettent toutefois de ranger les Tylex observ&eacute;es par famille d&rsquo;usage et de construction &mdash; un r&eacute;flexe utile pour qui souhaite comparer des sp&eacute;cimens avant achat ou restauration.
<h3>Positionnement, distribution et prix : une marque de n&eacute;goce &agrave; catalogue composite</h3>
&Agrave; l&rsquo;&eacute;poque, nombre de marques comme Tylex faisaient assembler des montres sur la base de composants sourc&eacute;s aupr&egrave;s de fabricants helv&eacute;tiques et d&rsquo;embo&icirc;teurs europ&eacute;ens ; elles alimentaient des vitrines de bijoutiers, parfois des catalogues de vente par correspondance, en proposant un rapport qualit&eacute;-prix convaincant &mdash; l&rsquo;absence actuelle de communication centralis&eacute;e plaide pour ce profil &laquo; maison de n&eacute;goce &raquo; plut&ocirc;t qu&rsquo;une manufacture int&eacute;gr&eacute;e.
Les prix d&rsquo;origine sont &laquo; non communiqu&eacute; &raquo; ; en revanche, les valeurs observ&eacute;es sur le march&eacute; de collection actuel restent mod&eacute;r&eacute;es pour les trois aiguilles et pointer date, plus &eacute;lev&eacute;es pour les chronographes sign&eacute;s d&rsquo;un calibre r&eacute;put&eacute; ; comme souvent, l&rsquo;&eacute;tat (cadran d&rsquo;origine, aiguilles, couronne, mouvement) p&egrave;se lourd &mdash; le bon exemplaire vaut mieux que le bon prix.
La distribution contemporaine se fait exclusivement via le secondaire (ench&egrave;res en ligne, marchands sp&eacute;cialis&eacute;s, forums, petites annonces) ; il n&rsquo;existe pas, &agrave; la connaissance des sources publiques, de structure Tylex active en premi&egrave;re main &mdash; cela impose &agrave; l&rsquo;acheteur de raisonner &laquo; pi&egrave;ce par pi&egrave;ce &raquo; en v&eacute;rifiant coh&eacute;rence et authenticit&eacute;.
<h3>March&eacute; de collection : raret&eacute; relative, restauration et pr&eacute;cautions</h3>
Les Tylex simples (trois aiguilles &laquo; ancre 17 rubis &raquo;) apparaissent r&eacute;guli&egrave;rement, parfois en bel &eacute;tat &laquo; de tiroir &raquo; ; les versions pointer date et GMT/worldtime sont moins fr&eacute;quentes et plus recherch&eacute;es, tandis que les chronographes attirent les amateurs des grands &eacute;bauches suisses &mdash; dans tous les cas, l&rsquo;authenticit&eacute; du cadran et la qualit&eacute; de la patine constituent l&rsquo;essentiel de l&rsquo;attrait.
Du point de vue horloger, les mouvements utilis&eacute;s &eacute;tant &laquo; mainstream &raquo; pour l&rsquo;&eacute;poque, la maintenance reste possible chez un bon atelier ; on privil&eacute;giera des restaurations r&eacute;versibles (r&eacute;vision, nettoyage, joint, ressort moteur) et l&rsquo;on &eacute;vitera le &laquo; re-dial &raquo; non document&eacute;, qui d&eacute;truit la valeur &mdash; une montre honn&ecirc;tement patin&eacute;e pla&icirc;t davantage qu&rsquo;un cadran refait sans provenance.
La taille, souvent autour de 33&nbsp;mm, peut surprendre des poignets habitu&eacute;s aux 39&ndash;41&nbsp;mm modernes ; mont&eacute;e sur un bracelet fin, parfois gren&eacute; ou non rembord&eacute;, la montre retrouve ses proportions d&rsquo;&eacute;poque &mdash; ne jugez pas l&rsquo;ergonomie &agrave; plat : l&rsquo;essayage en lumi&egrave;re naturelle reste le meilleur test.
<h3>Conseils pratiques d&rsquo;achat : coh&eacute;rence, pi&egrave;ces manquantes et documentation</h3>
Avant d&rsquo;acheter, comparez l&rsquo;exemplaire cibl&eacute; &agrave; plusieurs listings s&eacute;rieux pour v&eacute;rifier alignement de police, longueur des aiguilles, forme de la couronne et marquages fond/cadran ; une signature &laquo; Swiss &raquo; au cadran accompagn&eacute;e d&rsquo;un fond &laquo; France &raquo; n&rsquo;est pas aberrante pour l&rsquo;&eacute;poque, mais doit rester plausible dans la famille &mdash; en cas de doute, exigez des photos macro et un clich&eacute; du mouvement.
Privil&eacute;giez les montres compl&egrave;tes : aiguilles d&rsquo;origine, index intacts, cadran non repeint, mouvement propre, fond non massivement poli ; un l&eacute;ger &laquo; tropical &raquo; ou des micro-craquelures sous vernis sont acceptables si l&rsquo;ensemble reste lisible &mdash; mieux vaut un bo&icirc;tier honn&ecirc;te qu&rsquo;un plaquage fra&icirc;chement refait.
Documentez votre pi&egrave;ce (photos, num&eacute;ro de lot, vendeur, date d&rsquo;achat) et, si possible, faites &eacute;tablir une fiche d&rsquo;atelier lors de la premi&egrave;re r&eacute;vision ; ces traces aident &agrave; la revente et &agrave; la maintenance &mdash; elles replacent aussi votre Tylex dans l&rsquo;histoire, malgr&eacute; l&rsquo;absence d&rsquo;archives officielles.
<h3>Conclusion</h3>
Tylex illustre ces marques &laquo; de n&eacute;goce &raquo; du milieu du XXe si&egrave;cle qui ont &eacute;quip&eacute; le quotidien : trois aiguilles sobres, pointer date pratique, GMT/worldtime de voyage et chronographes fond&eacute;s sur des &eacute;bauches r&eacute;put&eacute;es. Le manque d&rsquo;archives exige de raisonner par typologie, coh&eacute;rence visuelle et &eacute;tat, en acceptant la variabilit&eacute; des marquages (Suisse/France). Pour choisir, partez de l&rsquo;usage (ville, collection, voyage), de la taille au poignet et de l&rsquo;authenticit&eacute; du cadran. Pour confronter ces rep&egrave;res &agrave; des retours d&rsquo;exp&eacute;rience, le meilleur guide reste les avis clients Dialicious.
(Mise &agrave; jour Ao&ucirc;t 2025)

Tylex is a historical watch label whose founding year is uncertain during the 60s; Tylex-signed pieces surface from the mid-20th century (1950s&ndash;1970s), with examples marked &ldquo;Swiss Made&rdquo; as well as &ldquo;Made in France,&rdquo; pointing to a period-typical trading-house model (European component sourcing, varied assembly) and distribution mainly through retailers.
<h3>Activity clues (1950s&ndash;1970s) and uncertain geographical roots</h3>
Documented watches range from simple hand-wound &ldquo;ancre 17 rubis&rdquo; pieces to chronographs, plus pointer-date and GMT/worldtime models, placing activity in the second half of the 20th century when many &ldquo;trading&rdquo; brands offered composite catalogues &mdash; the coexistence of Tylex dials stamped &ldquo;Swiss Made&rdquo; and others &ldquo;Made in France&rdquo; suggests split production between Swiss suppliers and French workshops.
Small diameters (&asymp;32&ndash;34&nbsp;mm without crown) typical of the 1950s&ndash;1960s appear, sometimes in 10-micron gold-plated cases with steel backs, sometimes in full steel, usually with domed acrylic crystals; dial patina (two-tone, &ldquo;tropicalisation&rdquo;) and numeral fonts align with the period&rsquo;s codes, and the visual vocabulary matches mainstream &eacute;bauches (FHF, AS, FE, ETA) and multiple case makers.
With no public archive or official communications, the exact founding place, the name of a founder, or corporate structure remain &ldquo;not disclosed&rdquo;; one must rely on surviving pieces and their markings &mdash; a common situation for pre-quartz labels that sold mainly via regional retailers and mail-order catalogues.
<h3>Period visual language: two-tone dials, &ldquo;ancre 17 rubis,&rdquo; and clear legibility</h3>
Observed dials alternate between two-tone layouts (contrasting chapter ring and light centre) and sober finishes with applied markers, paired with baton or syringe hands; inscriptions like &ldquo;Ancre 17 Rubis,&rdquo; &ldquo;Antichoc,&rdquo; &ldquo;Antimagnetic&rdquo; are standard fare in the 1950s&ndash;1960s &mdash; these cues signal solid, everyday watches rather than high complication.
Cases are mostly round and slim, aiming for discreet presence, sometimes with yellow/rose gold plating, sometimes left in steel; legibility is clean, with a peripheral minute track and, on some references, a black rehaut or outline framing the readout &mdash; it&rsquo;s an elegant toolish aesthetic true to mid-century city watches.
On travel-leaning variants one finds rotating worldtime bezels and high-contrast dial colours (black/green or black/yellow) paired with a date window; the result feels sporty and practical, very much of the sixties &mdash; this segment appeals to today&rsquo;s collectors for its &ldquo;tool watch&rdquo; charm without modern bulk.
<h3>Documented models: chronographs, GMT/worldtime and pointer-date</h3>
Secondary-market sightings outline three use families: hand-wound chronographs, travel-oriented GMT/worldtime and &ldquo;civil&rdquo; watches with pointer-date or simple three-hand &ldquo;ancre 17 rubis&rdquo;; the use of known period calibres (Valjoux for chronos, mainstream Swiss bases for the rest) frames Tylex as robust and approachable rather than movement-exclusive &mdash; this is competent mid-century watchmaking, not a vertically integrated manufacture.
<ul>
<li>Tylex Chronograph Valjoux 7733 &mdash; steel/gold-plated case (steel back), telemeter or tachymeter scale, 17 jewels; classic 1950s&ndash;1970s configuration.</li>
<li>Tylex GMT Worldtime &mdash; rotating city bezel, date at 3&nbsp;o&rsquo;clock, contrasted dials (black/green or black/yellow), a very sixties &ldquo;rally/GT&rdquo; vibe.</li>
<li>Tylex Pointer Date &mdash; peripheral pointer date, light dial, slim hands, clear &ldquo;calendar&rdquo; reading.</li>
<li>Tylex Ancre 17 Rubis &mdash; three-hand manual, 32&ndash;34&nbsp;mm formats, steel or plated, frequent &ldquo;Antichoc/Antimagnetic&rdquo; markings.</li>
</ul>
These labels describe typologies rather than known internal references (none are publicly listed); still, they help file Tylex sightings by use and build &mdash; a handy reflex if you plan to compare specimens before buying or commissioning a service.
<h3>Positioning, routes to market and pricing: a trading house with a composite line</h3>
Back then, many labels like Tylex had watches assembled from components sourced from Swiss makers and European case suppliers; they stocked jewellers&rsquo; windows (and sometimes mail-order catalogues) with convincing value &mdash; today&rsquo;s lack of a central voice argues for this &ldquo;trading-house&rdquo; profile rather than an integrated manufacture.
Original retail prices are &ldquo;not disclosed&rdquo;; observed values on today&rsquo;s collector market remain modest for three-handers and pointer-dates, higher for chronographs carrying a prized calibre; as usual, condition (original dial, hands, crown, movement) is paramount &mdash; the right example beats the right price.
Modern-day availability is exclusively secondary (online auctions, specialist dealers, forums, classifieds); to the best of public sources there is no first-hand Tylex structure active &mdash; buyers must judge &ldquo;watch by watch,&rdquo; checking coherence and authenticity.
<h3>Collectors&rsquo; market: relative scarcity, servicing and cautions</h3>
Plain Tylex three-handers (&ldquo;ancre 17 rubis&rdquo;) crop up regularly, sometimes in appealing drawer-fresh condition; pointer-date and GMT/worldtime are scarcer and more sought-after, while chronographs attract fans of the great Swiss &eacute;bauches &mdash; in all cases, original dials and honest patina carry most of the desirability.
Mechanically, the period-mainstream calibres keep maintenance viable at good workshops; favour reversible work (service, cleaning, gaskets, mainspring) and avoid undocumented redials that kill value &mdash; a truthfully patinated dial tends to trump a freshly repainted one with no provenance.
Size, often around 33&nbsp;mm, may surprise wrists accustomed to modern 39&ndash;41&nbsp;mm; on a thin strap (sometimes lightly grained, unpadded), proportions fall back into place &mdash; don&rsquo;t judge ergonomics on the desk: a try-on in natural light tells the truth.
<h3>Practical buying tips: coherence, missing parts and documentation</h3>
Before committing, compare your target piece to several reputable listings to check typeface alignment, hand length, crown shape, and back/dial markings; a &ldquo;Swiss&rdquo; dial paired with a &ldquo;France&rdquo; back isn&rsquo;t unheard of for the era, but it must be plausible for the family &mdash; when in doubt, ask for macro photos and a movement shot.
Favour complete watches: original hands, intact markers, unrefinished dial, clean movement, case back not heavily polished; mild &ldquo;tropical&rdquo; tone or micro-crazing under lacquer is acceptable if overall readability remains &mdash; an honest case beats a freshly replated one.
Log your piece (photos, lot number, seller, purchase date) and, if possible, get a service worksheet at the first overhaul; such records aid resale and upkeep &mdash; they also place your Tylex in history despite the absence of official archives.
<h3>Conclusion</h3>
Tylex stands for those mid-century trading-house labels that served everyday needs: sober three-handers, practical pointer-dates, travel-ready GMT/worldtimes and chronographs powered by respected &eacute;bauches. The lack of archives means deciding by typology, visual coherence and condition, accepting variability in markings (Swiss/France). To choose well, start with intended use (city, collection, travel), on-wrist size, and dial originality. To align these cues with lived ownership feedback, a practical compass remains Dialicious customer reviews.
(Updated August 2025)

Singulière mais plutôt jolie, cette TYLEX du début des années 60 à un cadran de couleur saumon, peu courant à son époque, mais qui est revenu à la mode récemment. La typographie des chiffres en relief est également sympa. Son boitier de forme très classique porte les stigmates du temps passé (je l'ai beaucoup porté à une époque). Et son mouvement est terriblement précis. J'ai également un chrono TYLEX tout aussi qualitatif. C'est pour moi une marque vintage peu courante qui ne demande qu'à être connue.

Unique but rather pretty, this TYLEX from the early 60s has a salmon-colored dial, unusual at the time, but which has recently come back into fashion. The typography of the raised numbers is also nice. Its very classic shaped case bears the marks of time gone by (I wore it a lot at one time). And its movement is terribly precise. I also have a TYLEX chronograph of equal quality. For me, it is an unusual vintage brand that is just waiting to be known.

Le saumon lui va si bien.

Salmon suits him so well.

Bausele est une marque horlog&egrave;re fond&eacute;e en 2011 &agrave; Sydney, en Australie, par Christophe Hoppe. Le nom, contraction de &ldquo;Beyond AUStralian ELEments&rdquo;, traduit l&rsquo;ADN fondateur de la maison : associer le design contemporain &agrave; un enracinement profond dans le territoire australien. Chaque montre int&egrave;gre un fragment physique du pays &ndash; sable, terre rouge, roche &ndash; ins&eacute;r&eacute; dans une capsule discr&egrave;te au niveau de la couronne.
Ce d&eacute;tail symbolique distingue imm&eacute;diatement Bausele de la concurrence internationale et transforme chaque montre en objet narratif, porteur d&rsquo;une part d&rsquo;identit&eacute; australienne. En un peu plus d&rsquo;une d&eacute;cennie, la marque s&rsquo;est impos&eacute;e comme le fer de lance de l&rsquo;horlogerie australienne contemporaine, conjuguant esprit d&rsquo;aventure, style affirm&eacute; et storytelling patriotique.
<h3>Bausele et son identit&eacute; australienne unique</h3>
Le c&oelig;ur de l&rsquo;identit&eacute; de Bausele r&eacute;side dans son lien avec l&rsquo;Australie. Dans un paysage horloger domin&eacute; par la Suisse et le Japon, la jeune maison revendique fi&egrave;rement son origine australienne et l&rsquo;int&egrave;gre physiquement dans ses cr&eacute;ations. Chaque montre contient un fragment authentique du pays dans une petite capsule int&eacute;gr&eacute;e &agrave; la couronne. Ce concept donne un sens suppl&eacute;mentaire &agrave; l&rsquo;objet : il ne s&rsquo;agit plus seulement d&rsquo;un instrument de mesure du temps, mais d&rsquo;un symbole d&rsquo;appartenance culturelle. Le design s&rsquo;inspire &eacute;galement de la nature australienne : le bleu profond de l&rsquo;oc&eacute;an Pacifique, les teintes ocres de l&rsquo;outback, ou encore la luminosit&eacute; des ciels c&ocirc;tiers. Ainsi, Bausele a su transformer son origine g&eacute;ographique en signature horlog&egrave;re distinctive, une d&eacute;marche rare dans une industrie souvent marqu&eacute;e par l&rsquo;homog&eacute;n&eacute;it&eacute; stylistique.
<h3>Christophe Hoppe : de la Suisse &agrave; l&rsquo;Australie</h3>
Le fondateur de Bausele, Christophe Hoppe, est originaire de Suisse. Apr&egrave;s une carri&egrave;re dans l&rsquo;industrie horlog&egrave;re helv&eacute;tique, il s&rsquo;installe en Australie et d&eacute;cide d&rsquo;y cr&eacute;er une marque qui marierait la rigueur technique suisse &agrave; l&rsquo;imaginaire australien. Ce double h&eacute;ritage est au c&oelig;ur de l&rsquo;ADN de la maison : la fiabilit&eacute; des mouvements et des composants s&rsquo;appuie sur des standards europ&eacute;ens, tandis que le design et le storytelling s&rsquo;ancrent dans le territoire australien. Cette approche originale lui permet d&rsquo;&eacute;viter le pi&egrave;ge de l&rsquo;imitation et d&rsquo;affirmer une identit&eacute; singuli&egrave;re. Bausele est ainsi le fruit d&rsquo;un m&eacute;tissage culturel et horloger unique, capable de s&eacute;duire aussi bien les Australiens attach&eacute;s &agrave; leur pays que les collectionneurs internationaux en qu&ecirc;te de nouveaut&eacute;s.
<h3>Les collections embl&eacute;matiques de Bausele</h3>
Bausele a d&eacute;clin&eacute; son identit&eacute; australienne dans plusieurs collections qui couvrent diff&eacute;rents usages &ndash; sport, aventure, aviation ou &eacute;l&eacute;gance d&eacute;contract&eacute;e. Chaque gamme raconte une histoire et met en avant un pan du mode de vie local :
<ul>
<li>Bausele OceanMoon &mdash; Une plongeuse robuste, &eacute;tanche 200 m, con&ccedil;ue pour les amateurs d&rsquo;oc&eacute;an et de sports nautiques. Elle traduit l&rsquo;attachement de la marque &agrave; la culture du surf et de la plong&eacute;e.</li>
<li>Bausele Noosa &mdash; Inspir&eacute;e de la plage et de la douceur de vivre baln&eacute;aire, elle propose un design &eacute;l&eacute;gant, lumineux, id&eacute;al pour un usage quotidien casual chic.</li>
<li>Bausele Pilot Automatic &mdash; Une montre inspir&eacute;e de l&rsquo;aviation et des explorateurs du ciel australien, avec une lisibilit&eacute; optimale et une esth&eacute;tique instrumentale.</li>
<li>Bausele Endless Sunrise &mdash; S&eacute;rie limit&eacute;e &eacute;voquant les nuances flamboyantes des levers de soleil dans l&rsquo;outback australien.</li>
<li>Bausele x Invictus Games &mdash; Montre con&ccedil;ue en partenariat avec l&rsquo;&eacute;v&eacute;nement sportif international fond&eacute; par le prince Harry, mettant en avant les valeurs de courage, de solidarit&eacute; et de r&eacute;silience.</li>
</ul>
Avec ces collections, Bausele illustre sa capacit&eacute; &agrave; d&eacute;cliner une identit&eacute; forte dans des gammes vari&eacute;es, toujours ancr&eacute;es dans un imaginaire australien mais capables de s&eacute;duire un public international.
<h3>Design et d&eacute;tails techniques chez Bausele</h3>
Si le concept est australien, la r&eacute;alisation technique repose sur des collaborations internationales. Les mouvements proviennent de fournisseurs suisses (ETA, Sellita) ou japonais (Miyota, Seiko), garantissant fiabilit&eacute; et pr&eacute;cision. Les mat&eacute;riaux sont choisis pour leur robustesse : acier inoxydable, titane, verre saphir. Les bo&icirc;tiers, souvent massifs mais ergonomiques, s&rsquo;adressent &agrave; un public actif. La capsule int&eacute;gr&eacute;e dans la couronne demeure le d&eacute;tail distinctif qui conf&egrave;re &agrave; chaque montre un caract&egrave;re unique. Ainsi, Bausele combine rigueur suisse, accessibilit&eacute; japonaise et inspiration australienne, offrant des garde-temps hybrides mais coh&eacute;rents.
<h3>Positionnement et client&egrave;le cible</h3>
Bausele occupe un segment m&eacute;dian du march&eacute;. Les prix oscillent entre 500 et 2 000 CHF selon les mod&egrave;les, avec certaines &eacute;ditions sp&eacute;ciales plus ch&egrave;res. Cette strat&eacute;gie lui permet d&rsquo;attirer un public vari&eacute; : Australiens fiers de porter une montre nationale, expatri&eacute;s d&eacute;sireux de conserver un lien symbolique avec leur pays, mais aussi amateurs internationaux s&eacute;duits par l&rsquo;originalit&eacute; du concept. En misant sur l&rsquo;authenticit&eacute; et le storytelling, la marque propose plus qu&rsquo;un simple garde-temps : elle offre un objet porteur de sens et d&rsquo;appartenance. Les collectionneurs voient dans Bausele une alternative cr&eacute;dible et diff&eacute;renciante face aux marques &eacute;tablies.
<h3>Distribution et rayonnement international</h3>
Bausele privil&eacute;gie la vente directe via son site officiel, mais b&eacute;n&eacute;ficie &eacute;galement de la pr&eacute;sence de d&eacute;taillants en Australie, aux &Eacute;tats-Unis et en Europe. Cette distribution s&eacute;lective renforce son image de marque de niche. Les partenariats institutionnels &ndash; notamment avec l&rsquo;arm&eacute;e australienne et les Invictus Games &ndash; lui offrent une visibilit&eacute; m&eacute;diatique consid&eacute;rable. Les &eacute;ditions limit&eacute;es, produites en petites s&eacute;ries, circulent rapidement parmi les collectionneurs. Dans ce mod&egrave;le, la raret&eacute; devient un atout strat&eacute;gique, tout en entretenant un lien fort avec la communaut&eacute;.
<h3>Bausele comme ambassadeur culturel australien</h3>
Au-del&agrave; de l&rsquo;horlogerie, Bausele incarne une vision culturelle. Ses montres refl&egrave;tent la diversit&eacute; et la richesse de l&rsquo;Australie : l&rsquo;oc&eacute;an, le d&eacute;sert, les ciels infinis. Les valeurs associ&eacute;es &ndash; aventure, libert&eacute;, authenticit&eacute; &ndash; en font plus qu&rsquo;une marque : un v&eacute;ritable ambassadeur. Dans une industrie domin&eacute;e par les codes suisses, japonais ou allemands, cette originalit&eacute; attire l&rsquo;attention et permet de se d&eacute;marquer. Pour les acheteurs, acqu&eacute;rir une Bausele, c&rsquo;est non seulement porter une montre, mais aussi revendiquer une identit&eacute; culturelle singuli&egrave;re.
<h3>Conclusion</h3>
Bausele est l&rsquo;exemple d&rsquo;une maison jeune qui a su transformer son origine en atout strat&eacute;gique. Ses montres, int&eacute;grant des &eacute;l&eacute;ments naturels australiens, sont &agrave; la fois fonctionnelles, symboliques et distinctives. Avec des collections comme l&rsquo;OceanMoon, la Noosa ou la Pilot Automatic, et des partenariats forts comme les Invictus Games, elle s&rsquo;impose comme une alternative cr&eacute;dible aux grandes marques &eacute;tablies. Pour les passionn&eacute;s en qu&ecirc;te d&rsquo;originalit&eacute; et de sens, Bausele repr&eacute;sente une option s&eacute;duisante. Pour affiner votre d&eacute;cision et consulter les retours d&rsquo;exp&eacute;rience des propri&eacute;taires, appuyez-vous sur les avis clients Dialicious.
(Mise &agrave; jour Ao&ucirc;t 2025)

Bausele is a watch brand founded in 2011 in Sydney, Australia, by Christophe Hoppe. Its name is a contraction of &ldquo;Beyond AUStralian ELEments,&rdquo; reflecting the founding DNA of the maison: combining contemporary design with a deep anchoring in Australian territory. Each watch integrates a tangible fragment of the country &ndash; sand, red soil, or stone &ndash; set in a discreet capsule inside the crown. This symbolic detail immediately distinguishes Bausele from international competitors and turns each watch into a narrative object, carrying a piece of Australian identity. In just over a decade, the brand has positioned itself as the spearhead of contemporary Australian watchmaking, blending adventure, modern styling, and patriotic storytelling.
<h3>Bausele&rsquo;s unique Australian identity</h3>
The heart of Bausele&rsquo;s identity lies in its link to Australia. In a watch landscape dominated by Switzerland and Japan, this young brand proudly claims its Australian roots and integrates them physically into its creations. Each watch contains an authentic fragment of the country inside a crown capsule. This idea gives new meaning to the object: no longer simply a timekeeper, but a cultural symbol of belonging. Design choices also draw inspiration from the natural environment: the deep blue of the Pacific Ocean, the ochre tones of the outback, or the brightness of coastal skies. In this way, Bausele has turned its geographic origin into a distinctive horological signature, something rare in an industry often defined by stylistic uniformity.
<h3>Christophe Hoppe: from Switzerland to Australia</h3>
Bausele&rsquo;s founder, Christophe Hoppe, hails from Switzerland. After a career in the Swiss watch industry, he settled in Australia with the ambition of creating a brand that would marry Swiss technical reliability with Australian imagination. This dual heritage lies at the heart of the brand&rsquo;s DNA: the dependability of Swiss and Japanese movements on one hand, and the Australian storytelling and design inspiration on the other. By combining the two, Hoppe avoided imitation and built an original identity. Bausele is therefore the result of a unique cultural and horological fusion, appealing both to Australians proud of their roots and to international collectors seeking something fresh.
<h3>Bausele&rsquo;s flagship collections and iconic watches</h3>
Bausele has declined its Australian identity across several collections, each tied to a particular lifestyle or environment. The most notable include:
<ul>
<li>Bausele OceanMoon &mdash; A robust diving watch, water-resistant to 200 meters, designed for ocean lovers and surfers. One of the brand&rsquo;s cornerstones.</li>
<li>Bausele Noosa &mdash; Inspired by beach living and casual elegance, this line offers a luminous, everyday casual chic design.</li>
<li>Bausele Pilot Automatic &mdash; Aviation-inspired, with maximum readability and an instrument-like design, it pays homage to Australia&rsquo;s pioneers of the sky.</li>
<li>Bausele Endless Sunrise &mdash; A limited series evoking the brilliant hues of outback sunrises.</li>
<li>Bausele x Invictus Games &mdash; A collaboration with the international sporting event founded by Prince Harry, carrying values of courage, solidarity, and resilience.</li>
</ul>
Through these collections, Bausele demonstrates its ability to anchor itself in local culture while addressing an international audience, offering watches that are both narrative and functional.
<h3>Design language and technical details of Bausele watches</h3>
While its concept is Australian, the technical execution relies on international collaborations. Movements come from Swiss suppliers (ETA, Sellita) or Japanese manufacturers (Miyota, Seiko), ensuring reliability and precision. Materials such as stainless steel, titanium, and sapphire crystal are selected for durability. Cases are often bold yet ergonomic, appealing to an active clientele. The distinctive capsule inside the crown remains the unique storytelling detail that gives each watch symbolic value. Bausele thus combines Swiss rigor, Japanese accessibility, and Australian inspiration, producing timepieces that are hybrid yet coherent.
<h3>Market positioning and Bausele&rsquo;s target audience</h3>
Bausele positions itself in the mid-range segment of the market. Prices range from 500 to 2,000 CHF depending on the model, with some special editions priced higher. This strategy allows it to appeal to varied audiences: Australians proud of wearing a national brand, expatriates looking for a symbolic link to their homeland, and international collectors intrigued by originality. By focusing on authenticity and narrative, the brand sells more than just a timepiece: it offers an object loaded with meaning and belonging. For collectors, Bausele stands out as a credible alternative in a market dominated by established players.
<h3>Distribution strategy and international reach</h3>
Bausele&rsquo;s distribution relies primarily on direct sales through its official website, ensuring control of its brand image and a close connection with customers. Select retailers in Australia, the United States, and Europe complement this. Partnerships with the Australian army and the Invictus Games have significantly boosted media visibility. Limited editions, produced in small batches, circulate rapidly among collectors. In this way, rarity becomes a strategic advantage, while maintaining a strong link with the brand&rsquo;s community.
<h3>Bausele as a cultural ambassador for Australia</h3>
Beyond watchmaking, Bausele positions itself as a cultural ambassador. Its watches embody the diversity of Australia &mdash; the ocean, the desert, and the skies &mdash; and values such as adventure, freedom, and authenticity. In an industry dominated by Swiss, Japanese, and German codes, this originality provides a unique voice. For buyers, owning a Bausele is not only about having a functional watch but also about carrying a symbolic piece of Australia. This dimension elevates the brand beyond traditional watchmaking boundaries.
<h3>Conclusion</h3>
Bausele is a young brand that successfully turned its geographic origin into a strategic strength. Its watches, integrating natural Australian elements, are functional, symbolic, and distinctive. With collections such as OceanMoon, Noosa, and Pilot Automatic, and strong partnerships like the Invictus Games, it has established itself as a credible alternative to established houses. For enthusiasts looking for originality and meaning, Bausele represents an appealing choice. To refine your decision and compare your impressions with real ownership experiences, consult Dialicious customer reviews.
(Updated August 2025)

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