Découvrez les 8 montres de la collection de Chris

A la recherche d'une montre au passé militaire, j'ai recherché un modèle avec un héritage. De nombreuses marques répondaient à mes critères. Malheureusement, les modèles historiques étaient hors budget pour moi. C'est la que j'ai découvert Auricoste et particulièrement la Spirotechnique. Le passé militaire de cette marque m'a parlé. Les multiples partenariats avec les instances militaires Française ou étrangères m'ont séduit. Sans parler de la fabuleuse histoire de la Spirotechnique qui a œuvré pour rendre la plongée accessible. La Spirotechnique est une montre de plongée, étanche 300m. Pour moi elle représente un parfait hommage à l'original qui a équipé la Marine Nationale. Son boitier en forme de "porte-avion" de 42 mm avec sa couronne à 4h entièrement brossé affirme une certaine solidité. Le cadran noir mat est vraiment fait pour avoir la meilleure lisibilité et les index peints en blanc facilite la tâche. Enfin les aiguilles de bonne dimension sont parfaitement adaptées. Le seul défaut que j'ai constaté, c'est un peu de jeu dans la lunette tournante, mais rien rédhibitoire. Le détail que j'adore, c'est façile....Le logo de la Spirotechnique sur le cadran.

La Tudor ranger est un modèle historique. Inspirée de la Tudor oyster prince qui a équipée les membres de la British North Greenland Expédition qui a eu lieu de 1952 à 1954. Tudor a montré pendant cette expédition son savoir-faire et sa robustesse. La Ranger est donc la descendante de celle qui fût créée en 1964 me semble t-il. La Ranger est simple, extrêmement lisible, un seul coup d'œil suffit pour lire l'heure. J'aime ce côté montre outil qui inspire la solidité. J'apprécie aussi les index couleurs crèmes qui lui donne un côté très vintage. C'est d'ailleurs ce que j'aime le plus dans ce cadran. Les aiguilles sont bien proportionnées avec une pointe de rouge au bout de la trotteuse. Cela met un peu de couleur. Le brossé satiné de la boîte et du bracelet est vraiment très bien exécuté. Le réglage fin du bracelet est également un vrai plus et son fermoir est bien fini. Le calibre de la Ranger propose 70h de réserve de marche. C'est aussi un vrai plus même si pour moi ce n'est pas un sujet. conclusion, pour celui qui recherche une montre fiable, simple respirant la qualité la Ranger est faite pour lui...

Réinterprétation moderne de la première montre de plongée de chez Seiko, la SPB 147J1 doit relever le défi d'être digne de son ancêtre. Je ne suis pas déçu par ses qualités. Son boitier avec ses chanfreins polis, ses dessus de cornes et ses cotés brossés permettent de jouer avec la lumière. De plus il possède un traitement anti rayure ce qui lui permet de s'adapter à de nombreuses situations. Son cadran soleillé parfois chocolat parfois noir en fonction de l'exposition est une réussite à mon sens. De plus les aiguilles dorées lui donne un coté très classe. Le bracelet en silicone prend vite la poussière mais il est très confortable. Il peut être changé facilement car le boitier a les cornes percées. Le calibre 6R35 offre 70h de réserve de marche, et sa précision reste acceptable. J'ai constaté une perte de 5 secondes par jour. Cela ne me gène vraiment pas. Ca fait parti du plaisir de la remettre à l'heure 1 fois par semaine et encore... En conclusion, je trouve que c'est une montre versatile qui pourra accompagner mes soirées cocktails ou bien mes sorties sportives en mer ou sur terre. Elle est devenu incontournable pour moi.

Adepte des montres de plongée, je souhaitais une marque horlogère reconnue dans le milieu des montres de plongée. D'autant que c'était pour marquer mes 50 ans. Ayant équipée la marine nationale, Tudor correspondait à mon cahier des charges. Je me suis orienté vers la BB58 car plus versatile que la pelagos. La navy représente plus l'esprit Tudor que la gilt avec sa couleur "bleue Tudor". Elle lui confère à mon sens plus de personnalité. La finition me semble de très bonne facture avec ses chanfreins polis qui lui donne un côté classe. Côté mouvement, le MT 5402 avec ses 70h RDM, répond parfaitement à mes attentes, COSC, il est très précis. C'est une montre en laquelle j'ai confiance. Seul bémol, le bracelet mériterait un réglage fin. Cette BB58 m'a conquis...

Je suis aux volant de ma formule Ford. J'arrive à l'entrée du raidillon sur le circuit de Spa, un rapide coup d'œil sur mon Oris ChronOris afin de connaître le temps qui me reste avant la victoire ✌️... Je lève la tête...dure retour à la réalité, je suis au bureau et il me reste encore 2h de boulot. Seule consolation, mon Oris chronOris est intransigeante sur l'horaire. Son calibre sw200-1 ne plaisante pas. Histoire de passer le temps, je peux toujours regarder sa trotteuse orange rappelant l'aiguille des compteurs de vitesse des années 70/80. À moins que je m'attarde sur son cadran noir et lisse à ses extrémités comme la piste, ou aux grainages centrales qui évoque l'asphalte. Le brossé de la boîte typique des seventies, avec son poli sur les flancs, me sert de rétroviseur, je peux voir qui arrivent derrière moi....ola c'est mon chef... Au travail, mais avant, lavons nous les mains. Zut, j'ai noyé mon Oris ChronOris sous le robinet, ouf, heureusement qu'elle est étanche à 100m. L'aiguille des heures et des minutes dorées m'indique sur un chemin de fer bien gradué qu'il est bientôt l'heure de partir. Décidément cette ChronOris est à l'aise partout. Sur la piste, au bureau ou en week-end... Vous l'aurez compris, cette montre inspire à la rêverie et à une époque faite de belles conquêtes humaines....Petite spécificité, c'est le modèle Movember, association œuvrant dans le domaine de la santé masculine...

Quand j'ai acheté cette montre j'étais à la recherche d'une montre de plongée à un tarif raisonnable. La mini turtle avec son design typé année 70 et son diamètre qui s'adapte à la plupart des poignets m'a séduit. J'ai également été sensible à la collaboration avec la PADI (Professional Association of Diving Instructors). C'est une des organisations les plus importante en matière de formation de plongée. Son boitier se pose parfaitement sur le poignet et son cadran en relief en forme de vagues rappelle l'origine de cette montre. L'aiguille des minutes rouge amène du peps et fait un rappelle à l'insert de lunette qui est en rouge sur le 1er quart d'heure. Le calibre 4R35 n'est pas une bête de course. Pas précis, il peut perdre jusqu'à 15 secondes par jour. En revanche, c'est du solide. Dès que je dois faire une activités un peu soutenu, je porte cette montre qui ne craint pas grand chose.

Orienté vers les montres plutôt sportives, il me fallait quand même une montre un peu plus habillée tout en gardant un côté joyeux. Je n'étais pas prêt à mettre un important budget pour ce type de montre, car je savais que je la porterai peut. C'est naturellement que j'ai regardé du côté de Seiko. La marque a plutôt bonne réputation dans un créneau de prix raisonnable. La seiko presage dite "mojito " m'a séduit. Son cadran est l'atout principal de cette montre, parfois vert émeraude, parfois vert foncé, c'est un délice pour les yeux. Les aiguilles sont pour moitiés polies et brossées. C'est rare à ce niveau de prix. Le diamètre est contenu, et elle peut se poser aisément sur le poignet de Madame. Le calibre 4r35 ne fait pas de miracle, mais rempli sa mission. C'est d'ailleurs un peu la loterie en terme de précision. Au début cela ne me dérangeais pas trop, mais à la longue ce manque de précision devient gênant. Le fond de boite est ouvert et la masse oscillante est dorée histoire de décorer un peu. Le bracelet d'origine n'est pas d'une grande qualité, mais il fait le boulot. Il est équipé de pompes rapides, comme quoi Seiko sait qu'il n'est pas terrible. On peut donc le changer facilement. Au final quoi demander de plus pour ce tarif contenu. Car n'oublions pas que Seiko est une marque horlogère historique dans le paysage horloger.

Tout d'abord un petit retour sur le contexte d'achat de cette montre. Nous sommes en 2020, les français sont confinés, je passe donc du temps devant mon ordinateur à regarder des montres. Et plus on regarde, plus on en veut... Du coup, je me suis defini un budget d'environ 600 à 700 € à l'époque. Je voulais aussi une plongeuse. Mon choix c'est orienté vers la Tissot seastar 1000. Tissot étant une marque qui n'a plus rien à prouver dans le milieu de l'horlogerie. La première chose que j'ai vu, c'est son cadran bleu soleillé qui prend la lumière de façon incroyable. Ensuite j'ai apprécié ses index appliqués qui lui donne un côté qualitatif. Concernant le rehaut, il est en plastique et cela gâche un peu le côté " belle montre ". Concernant le boîtier, il est en 43mm et les cornes polies en font une montre brillante, surtout avec son cadran très visible et sa lunette en céramique. C'est aussi grand ! D'autant que je n'ai pas un gros poignet. Point positif, le fond de boite est ouvert et protégé par un verre saphir. Étonnant pour une montre étanche à 300m. Le calibre délivre 80h de réserve de marche, et je le trouve précis, à peine 2 secondes par jour de dérive. C'est vraiment bien dans sa gamme de prix. Pas grand chose à dire sur le bracelet que j'ai choisi en caoutchouc. Il est confortable, sans plus avec une boucle ardillon. Conclusion, j'ai acheté cette montre sans l'avoir vu et essayé. Elle a des qualités, comme son étanchéité à 300m, son fond de boîte ouvert, son magnifique cadran, sa lunette céramique résistante et son calibre fiable, précis, endurant. Mais elle a aussi des défauts que je n'avais pas forcément évalués à son achat. Son diamètre important qui ne va pas à tout le monde ainsi que ses cornes polies et sa lunette céramique (on a le défaut de ses qualités)qui la font briller et la rendent sensible aux rayures. A mon humble avis, a essayer avant d'acheter...